La Palestine, que nous dit l’histoire ?
Voici la définition donnée par le Nouveau Dictionnaire de la Langue Française, le Larousse de 1884 : « La Palestine : contrée de la Turquie d’Asie, habitée autrefois par les israélites, souvent désignée sous le nom de Terre Sainte. »
Le lecteur constatera que du peuple palestinien il n’est fait aucune mention. Il n’existait pas encore. Pas plus que l’état palestinien. Aujourd’hui il n’est pas rare de lire qu’ils affirment y avoir une présence tri-millénaire. Trois mille ans mais aucune trace d’eux en 1884 ? La Palestine, en 1884, dit le Larousse, n’est pas un pays mais une contrée, c’est à dire une région non autonome, faisant partie de la Turquie. En revanche, en indiquant que cette terre était occupée par les israélites, le Larousse confirme leur présence historique et leur légitimité sur la région. Et si l’histoire du « peuple palestinien » était inventée de toutes pièces ?…
(Jean-Patrick Grumberg)
Pour en savoir plus sur l’histoire de cette région et l’origine de ceux que l’on appelle « les réfugiés palestiniens », voir l’article « La terre de Palestine : à qui est-elle ? »
Israël : un véritable exemple de démocratie
Israël : un véritable exemple de démocratie (Lors des élections du 18/03/2015)
Dans le chaos indescriptible dans lequel se trouvent le Proche et le Moyen-Orient, Israël donne la preuve flagrante que la liberté, le respect de chaque tendance et croyance est la valeur suprême.
Il ne se passe pas un jour sans que l’on cloue au pilori ce tout petit pays qui, en l’espace d’à peine 70 ans, a réussi à se hisser au niveau des pays les plus développés de la planète.
Pressions, intimidations, menaces, délégitimation générale, médisances, mauvaise foi, mensonges, falsification de l’histoire, accusations mensongères, menace d’éradication, j’en passe et des meilleures, rien n’y fait !
En Israël, tout le monde peut s’exprimer librement quelle que soit sa tendance et son appartenance religieuse… Mais curieusement, on accuse Israël de rascisme, d’Etat d’apartheid. Or, dans ces élections, comme dit précédemment, tout israélien peut se rendre aux urnes, qu’il soit musulman, chrétien, druze, athée, blanc, noir, communiste, nationaliste et je ne sais quoi d’autre, sans risquer pour sa vie.
Un pays sans cesse sous les feux de l’actualité, victime de la plus grande escroquerie de l’histoire. un peuple qui est revenu sur sa terre ancestrale laissée à l’abandon par tous depuis près de 2000 ans; une terre disait-on, ingrate, stérile, quasiment désertique, qui n’intéressait personne et qui n’attendait que ses fils.
Ses fils qui l’ont fait refleurir, qui l’ont choyée et lui ont redonné vie pour qu’elle devienne ce qu’elle est aujourd’hui : fertile, accueillante, superbe, un miracle !
Depuis lors, ce peuple ne cesse d’être attaqué encore de toutes parts, accusé de coloniser sa propre terre, même à la voler à des intrus qui osent la revendiquer comme la leur. Ce peuple qui, après un exil effroyable parmi les nations, et qui s’est soldé par un génocide, ce peuple doit encore se battre pour en éviter un autre. Quoique presque achevé et dépossédé de tout, il a réussi avec bravoure à relever la tête.
Un peuple que justement on a pas réussi à achever, et c’est bien là le malaise; alors, dans un dernier accès de haine, on a inventé de toute pièce un peuple imaginaire pour tenter d’éliminer ce rebelle qui ose vouloir exister.La preuve est faite qu’Israël est éternel, celui-là même qui a vu toutes les plus grandes civilisations s’écrouler les unes après les autres.
Nations, il serait temps de comprendre ! Cessez ! Rendez-vous à la raison ! Le peuple juif, ce peuple d’Israël et la terre d’Israël vous saluent bien bas !
(Source : aschkel – rédaction Israël flash)
Procès historique de la Cour d'appel de Versailles !
Procès historique de la Cour d’appel de Versailles !
En 2011 une plainte fut déposée par l’OLP auprès du tribunal de Grande Instance de Versailles au sujet de la construction, jugée selon elle illégale, du tramway de Jérusalem qui traverse la ville jusqu’à Jérusalem et ce que l’on appelle « les territoires occupés » (Israël avait confié le chantier aux entreprises françaises Véolia et Alstom).
Ce tribunal fut donc amené à rechercher les textes de droit international pour établir les droits des palestiniens et des israéliens. Pour la première fois depuis la proclamation de l’Etat d’Israël en 1948, un tribunal indépendant non israélien dut établir le statut légal des territoires au regard du droit international, au delà des déclarations des uns et des autres. Un an après, les conclusions du tribunal de Versailles sont aussi retentissantes que le silence par lequel elles ont été accueillies dans les médias : le tribunal de Versailles a considéré qu’Israël a des droits, que la construction du tramway est légale et a réfuté les arguments palestiniens :
– La Cour d’appel de Versailles ne nie pas l’occupation mais considère qu’Israël doit assurer l’ordre et la vie publique en Cisjordanie.
– l’occupation ne viole aucune loi internationale. L’Autorité palestinienne interprète mal des textes qui ne s’appliquent pas à l’occupation mais qui s’adressent à des Etats qui ont signé ces textes; ni elle ni l’OLP ne sont un Etat et n’ont signé ces textes.
– Le droit humanitaire n’est pas violé : le texte de la Convention de Genève et de La Haye avancé par l’OLP s’applique en cas de bombardement.
La Cour d’appel a condamné l’AFPS (Association France Palestine Solidarité) et l’OLP à verser 30 000 euros à Alstom Transport, et 30 000 euros à Véolia. Elle a reconnu que les palestiniens n’ont aucun droit -au sens du droit international- sur la Judée Samarie, et qu’Israël au contraire est légitimement en droit d’occuper ces terres. Ni l’OLP, ni l’Autorité Palestinienne ne se sont pourvues en cassation, et le jugement est devenu définitif. C’est la première fois qu’un tribunal dénonce les arguments juridiques palestiniens pour soutenir que l’occupation de la Judée Samarie est illégale.
Malgré cela, l’Union Européenne continue à demander que les produits fabriqués en Judée Samarie soient marqués, le BDS (boycot) continue de dénoncer l’occupation illégale de la Cisjordanie par Israël, de nombreuses universités appellent au boycot contre Israël, des experts publient des livres qui critiquent la « colonisation », la RIBA (Association britannique des architectes) a voté l’exclusion de l’association israélienne des architectes à cause des constructions non dénoncées illégales, et l’Assemblée Nationale et le Sénat votent en contradiction d’une décision de justice française pour la création d’un Etat palestinien sur une terre où les palestiniens n’ont aucun droit.
(Source : tiré d’un article de jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info)
Dans les précédents articles d’infos sur le Moyen-orient nous avons développé la véritable histoire du pays de la Bible, dont les habitants furent bannis puis exilés parmi toutes les nations, le dernier exil remontant au début de notre ère. C’était là l’accomplissement des prophéties bibliques, avertissements donnés longtemps à l’avance aux israélites qui étaient devenus infidèles et idolâtres.
Les prophéties disaient aussi qu’en l’absence de ses propriétaires, la terre deviendrait stérile, les cieux retiendraient la pluie, et que le pays entier serait une désolation. Après leur victoire militaire en 70, les romains ont tué ou déporté les habitants de la Judée et ce sont les romains qui ont donné à cette région le nom de Palestine (Félichtim en hébreu, ou Philistins, les ennemis héréditaires d’Israël), afin d’effacer toute trace du peuple d’Israël.
En effet, les personnages de l’histoire qui l’ont visité au XIX ème siècle ont décrit les villes à l’abandon, les collines déboisées, les champs incultes… Un pays vide d’habitants, hormis quelques bédouins arabes et un résidu de juifs pauvres qui ont toujours occupé la terre. « Une terre où ne poussaient que des cailloux ».
Le peuple juif en exil dut partout subir la haine et l’humiliation, la persécution, les pogroms. Toujours menacé et obligé de fuir, il connut plusieurs tentatives d’extermination, dont la dernière faillit réussir avec « la solution finale » d’Hitler.
Les grands empires et les tyrans ont disparu les uns après les autres, le peuple d’Israël a resurgi de ses cendres et redonné vie à la terre désolée. Certes, au prix de grandes souffrances, car les premiers arrivants (Souvent des jeunes-gens qui n’avaient jamais travaillé la terre !) n’ont trouvé que des ruines et des marais infestés de malaria. Beaucoup en moururent, par familles entières, mais ceux qui furent épargnés persévérèrent, et nous en voyons les fruits aujourd’hui. Au dur labeur s’ajoutait la lutte pour se protéger des attaques incessantes de leurs ennemis (Comme ce fut toujours le cas depuis l’époque d’Esdras et de Néhémie jusqu’à nos jours…)
Les nations regardent avec stupeur et jalousie ces juifs qui se rassemblent des quatre coins du monde, et qui ont réussi en quelques décennies une exception dans l’histoire des hommes : l’accueil et l’assimilation de toutes les cultures et de toutes les conditions sociales pour construire une nation forte tant dans le domaine militaire que scientifique, médical, artistique, économique ou agricole… Un pays innovant qui vient en aide aux autres nations et dont les produits remplissent la terre !
Plus que cela, la langue que parlaient Moïse et les hébreux sortis d’Egypte il y a 3500 ans, ou encore Jésus et ses disciples, tous juifs sur cette même terre de Judée voici 2000 ans, cette langue n’est pas « morte » comme le grec antique ou le latin, mais bien vivante aujourd’hui : l’hébreu est redevenu la langue nationale du pays d’Israël !
Le Dieu de la Bible avait promis ce retour et cette prospérité, comme signe de la fin des temps pour tous les hommes, afin qu’ils aient encore une fois l’occasion de réfléchir et de se tourner vers Celui qui est La Vérité. Mais devant l’évidence du miracle et de l’intervention divine en faveur de son peuple, « les nations se liguent ensemble contre Dieu », ainsi qu’il est écrit dans le Psaume 2, voulant se débarrasser du message dérangeant que leur rappelle ce peuple, avec son Dieu et son Messie qui vient pour régner.
Étonnamment, les nomades arabes qui ont vu les premiers pionniers arriver au début du siècle dernier, reconnaissaient qu’une mystérieuse bénédiction les accompagnait : ils les appelaient « Les juifs de la pluie » ! (Une note intéressante : les arabes disent depuis toujours dans leur langue « Le Mont du Temple » pour désigner la colline sur laquelle sont construites les mosquées !)
Les faits historiques comme les découvertes archéologiques sont simplement et malhonnêtement ignorés. L’énormité du mensonge et de la désinformation généralisée font leur chemin dans les esprits et prennent le dessus sur la réalité et le simple bon sens de la grande majorité, même en milieu chrétien. Comme disait un journaliste parmi ceux qui osent encore dire la vérité, « il semble que plus le mensonge est gros plus l’Occident y croit ! »
Comme nous l’avons déjà souligné dans d’autres articles, l’Etat d’Israël n’est pas un peuple modèle en tous points, loin s’en faut. Mais ce qui est écrit dans la Bible à son sujet s’accomplira jusqu’au bout. L’apôtre Paul dit que Dieu n’a pas rejeté son peuple, et que son rétablissement sera comme une résurrection en faveur du monde entier. Ce que les nations ne comprennent pas et que, dans leur orgueil, elles s’obstinent follement à combattre, croyant pouvoir lutter contre le Créateur, celui par qui toutes choses existent et subsistent (Colossiens 1:16-17).
Celui qui a fait la promesse d’une alliance éternelle avec Abraham et sa descendance par son fils Isaac et son petit fils Jacob (Que Dieu nommera plus tard Israël), n’abandonnera pas ses enfants dans la tourmente. Il est écrit qu’au sein de la détresse ils le chercheront et l’invoqueront de tout leur coeur, et l’Eternel les délivrera. Qui pourra s’y opposer ?
