Les palestiniens sont trompés, le monde aussi

Les palestiniens sont trompés, le monde aussi
Le problème des palestiniens est une falsification récente et méconnue de l’histoire. Une succession de fakenews dans les médias.

 
 
 

Avant la proclamation de l’Etat d’Israël en 1948, les Juifs, les Arabes et les autres minorités qui habitaient la région rebaptisée « Palestine » en l’an 130 de notre ère par les Romains, étaient tous des Palestiniens ! Le grand argument que les antisionistes utilisent contre Israël, c’est l’affirmation que la Palestine est une terre arabe et que les Juifs sont des envahisseurs colonialistes.

Pourquoi cette affirmation est-elle une inversion complète de la réalité historique ?

 
 
 

Difficile de nier... L'histoire est là, tout simplement, sans haine ni méchanceté

  • Avant Israël, il y avait le Mandat Britannique en Palestine, pas un Etat palestinien.
  • Avant le Mandat Britannique, il y avait l’Empire Ottoman turc et musulman, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Ottoman, il y avait l’Etat islamique des Mamelouks d’Egypte, pas un Etat palestinien.
  • Avant les Mamelouks d’Egypte, il y avait l’Empire Ayyoubide arabo-kurde, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Ayyoubide, il y avait le Royaume de Jérusalem franc et chrétien, pas un Etat palestinien.
  • Avant le Royaume de Jérusalem, il y avait l’Empire Ommeyyade puis Fatimide, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Ommeyyade, il y avait l’Empire Byzantin, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Byzantin, il y avait l’Empire Sassanide, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Sassanide, il y avait l’Empire Byzantin, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Byzantin, il y avait l’Empire Romain, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Romain, il y avait l’état Hasmonéen, pas palestinien.
  • Avant l’Empire Hasmonéen, il y avait l’Empire Séleucide, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Séleucide, il y avait l’Empire Macédonien d’Alexandre le Grand, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Macédonien il y avait l’Empire Perse, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Perse, il y avait l’Empire Babylonien, pas un Etat palestinien.
  • Avant l’Empire Babylonien, il y avait les Royaumes d’Israël et de Juda, pas un Etat palestinien.
  • Avant les Royaumes de Juda et Israël il y avait le Royaume d’Israël, pas un Etat palestinien.
  • Avant le Royaume d’Israël, il y a avait la théocratie des douze tribus d’Israël, pas un Etat palestinien.
  • Avant la théocratie des douze tribus d’Israël, il y avait un conglomérat de cités-royaumes cananéens indépendants, pas un Etat palestinien.
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    Pas de trace, au fil des époques, de l’ombre de l’ombre d’un Etat palestinien… Il faudra peut-être bien un jour reconnaître l’évidence : Israël n’a pas pu voler un Etat qui n’existe pas…

    (Par liguededefensejuive – 22 avril 2018 – Paru sur Coolamnews – Leçon d’histoire sur la Palestine pour les sourds, aveugles et malentendants).


     
     

    Selon l’historien palestinien Muhammad Y. Mouslih, durant les 400 ans de domination ottomane (1517-1917), et avant le mandat britannique, « il n’y avait aucune entité politique appelée Palestine ». En arabe, cette région était connue comme Al-Ard al-Ayour (Terre Sainte), ou Surya al-Janubiyya (sud de la Syrie), mais pas Palestine […] Il est donc bien temps que cesse cette campagne mensongère des dirigeants palestiniens. Aucun historien digne de ce nom ne pourra accepter le plus grotesque mensonge du siècle.

    (Pinhas Inbari – Le CAPE de Jérusalem – Centre des Affaires Publiques de l’Etat – publié le 8/07/17)

     
     

    L’invention récente d'un peuple palestinien

    La plupart des Palestiniens sont des arrivants relativement récents venus en Terre d’Israël sous le Mandat Britannique. La thèse des Palestiniens selon laquelle ils constituent un peuple indigène remontant à l’antiquité ne résiste pas à l’examen historique.

    Jusqu’en 1967, les Arabes résidant sur place considéraient simplement qu’ils faisaient partie de la « grande nation arabe » ou qu’ils étaient des « Syriens du Sud ». Après la guerre des Six Jours les Arabes palestiniens se présentent désormais comme un peuple autochtone en Palestine, comme les Aborigènes en Australie ou les Amérindiens en Amérique. Ils dépeignent les Juifs comme des impérialistes et des colonisateurs européens. C’est tout simplement faux […]

    Qu’est-ce qui a causé l’effondrement de la société palestinienne ? C’était l’absence d’une infrastructure arabe alternative après l’abandon par les Britanniques de leur mandat sur la Palestine, qui s’ajoutait aux graves clivages datant de l’époque ottomane au sein de la société arabe locale… Le départ de la Grande-Bretagne priva les fonctionnaires arabes de leur emploi. En conséquence, la plupart des services sociaux et de l’administration civile cessèrent de fonctionner dans le secteur arabe. La perturbation de la circulation de produits essentiels comme la nourriture et le carburant aggravait les difficultés de cette société, et l’incertitude de son destin.

    L’effondrement du système agricole lié à l’afflux de tribus nomades après la conquête arabe, avait conduit à l’apparition de marécages infestés par le paludisme et à l’abandon de l’ancien système de terrasses qui prévenait l’érosion des sols. Ce désastre était couplé à un régime tyrannique […] Avant l’arrivée des premiers sionistes dans les années 1880 il y avait très peu de Juifs et d’Arabes dans la région, et la plupart d’entre eux vivaient dans une pauvreté abjecte.

    La plupart des Arabes vivant à l’ouest du Jourdain, en Israël, en Judée et Samarie (Cisjordanie) et à Gaza sont de nouveaux arrivants venus des pays arabes voisins au tournant du XXe siècle, parce qu’ils étaient attirés par la prospérité économique relative apportée par le mouvement sioniste et par les Anglais dans les années 1920 et 1930. Les noms de famille de nombreux Palestiniens des Territoires dans l’annuaire téléphonique moderne attestent de leur origine non-palestinienne : Egypte, Syrie, Maghreb, etc…

    Ce qui unit les Palestiniens, c’est leur opposition au nationalisme juif et leur désir de l’éradiquer, et non une aspiration à un État en propre […] L’identité palestinienne n’existant pas jusqu’à ce qu’une force adverse la fasse surgir, elle se résume à l’antisionisme […]

    Ce point est admirablement illustré par le paradoxe historique suivant : pourquoi un gouvernement arabe autonome en Palestine n’a t-il jamais été établi […] avant 1967 ? Soudain, un peuple palestinien distinct a surgi du néant, il a prétendu qu’il méritait le statut de nation, et 21 États arabes ont fait chorus. (Palestinians ‘Peoplehood’ Based on a Big Lie – 17 /10/ 2018 – Auteur : Eli E. Hertz – Traduction : Jean-Pierre Bensimon – Extraits)


    L'histoire même de la terre est juive

    « Ce sont des envahisseurs arabo-musulmans qui sont venus en Terre d’Israël en tant que force impérialiste ascendante dans la décennie qui a suivi la mort du prophète Mohamed, et qui ont jeté les bases de la colonisation de cette terre par une longue chaîne d’empires musulmans jusqu’à la chute de l’Empire Ottoman, à la fin de la Première Guerre Mondiale. Au cours de cette longue période, les résidents non juifs et non chrétiens du pays se sont identifiés comme musulmans, non pas comme Arabes, certainement pas comme Palestiniens […] Il suffit de regarder les noms de famille communs parmi les Palestiniens pour voir leurs origines colonialistes : péninsule arabique (d’où sont venus les envahisseurs originaux), Bosnie, Turquie, Syrie, Inde, Yémen, Egypte, Maghreb, etc.

    En revanche, d’innombrables lieux en terre d’Israël témoignent d’une présence juive sur des milliers d’années. La rivière Narbeta par exemple (ou Arubot), est le nom d’une ville biblique qui gouvernait toute la région du nord de la Samarie sous le règne du roi Salomon. L’histoire rapporte que là aussi plus tard les Romains ont massacré des milliers de Juifs. La région regorge de vestiges archéologiques du Second Temple […] En 132, c’est la révolte de Bar Kochva principalement qui, avec les décrets religieux et économiques qui ont suivi, a dévasté la population, en particulier dans la Judée. Des taxes sévères poussaient les Juifs à chercher un répit dans les terres voisines. Mais encouragée par les sages d’Israël, l’implantation a prospéré, des dizaines de communautés se sont développées, surtout en Galilée, en Samarie et au sud d’Hébron.

    Après la conquête chrétienne de l’Empire Romain, le sort des Juifs s’est aggravé, des populations entières de Juifs et non Juifs se sont converties au christianisme et la présence juive a considérablement diminué. L’empereur byzantin Heraclius vainqueur des Perses en 628 a fait tuer des milliers de Juifs malgré sa promesse de les protéger. Moins d’une décennie plus tard les musulmans vont conquerir le pays. La population juive agricole et urbaine va rester en bonne condition, mais elle sera durement touchée par la conquête des Croisés puis des Mamelouks.

    Aux 18e et 19e siècles, ce sont les Turcs ottomans qui ont forcé les villageois juifs à quitter leurs maisons, soit en les expulsant et en les persécutant, soit en augmentant leurs impôts. Dans la région nord de la Samarie, les Turcs ont installé des Arabes. Or, les noms des communautés ont un sens linguistique en hébreu. Mais pour les Arabes conquérants qui les ont prononcés à leur manière, ces noms n’ont pas de signification linguistique.

    Avec l’arrivée de la population musulmane l’industrie du vin s’est effondrée… Aujourd’hui, les caves et les vignobles sont revenus dans les montagnes de Samarie… »

    (Extraits de l’article du 23/02/2020 du Dr Yechiel Shabiy – Chercheur au Centre BESA et professeur de sciences politiques à l’université de Bar-Ilan)


     
     

    « Tout historien digne de ce nom sait que la terre d’Israël est juive depuis trois mille ans. C’est là que le peuple juif et le judaïsme ont leurs racines. Elle faisait partie intégrante du territoire du foyer national juif promis par la déclaration Balfour et défini lors des accords de San Remo en 1920. Le territoire dessiné à San Remo incluait même le territoire donné un peu plus tard par les Britanniques au fils du chérif de la Mecque pour fonder l’Emirat de Transjordanie, devenu ensuite le royaume de Jordanie […] Créer un Etat palestinien serait une falsification de l’histoire et serait, en soi, créer un Etat terroriste aux flans d’Israël ». (Guy Millière – specialiste en économie – geopolitique – Israël Magazine N°234)..

     
     

    Qui sont les réfugiés palestiniens ?

    Il est important de comprendre ce qu’est un réfugié palestinien, car il est très différent de tout autre type de réfugié. Un réfugié est normalement quelqu’un qui a fui ou qui a été chassé de son propre pays par la guerre, des troubles politiques ou des catastrophes naturelles. Souvent, ils n’a pas de foyer permanent et vit temporairement dans un camp de réfugiés. Ils n’a aucun moyen de subsistance et dépend de la charité […]

    Le HCR ne s’occupe pas des réfugiés palestiniens. Une agence spéciale des Nations Unies, l’UNRWA (Agence de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) a été créée en 1949 juste pour les réfugiés de 1948 (environ 600 000 Arabes déplacés par la guerre). Grâce à la nature héréditaire unique des réfugiés palestiniens, il y a aujourd’hui environ 5 millions de « réfugiés palestiniens ». L’UNRWA dépense environ 1,5 milliard de dollars chaque année pour loger, nourrir et éduquer les réfugiés, répondre à leurs besoins médicaux, etc… Les familles palestiniennes reçoivent également des prestations d’aide sociale en fonction de la taille de la famille.

    Les réfugiés palestiniens vivent dans des camps, dans la bande de Gaza (1 300 000), en Judée / Samarie (800 000), au Liban (450 000), en Syrie (526 000) et en Jordanie (2 175 000). Ces camps ressemblent davantage à de grands quartiers ou à de petites villes que le camp de réfugiés temporaire qui vient à l’esprit. Ils sont administrés par les gouvernements hôtes (y compris l’Autorité Palestinienne) et approvisionnés par l’UNRWA. Au Liban, des restrictions à l’éducation et à l’emploi qui rappellent l’apartheid ont été imposées aux résidents. En Syrie, les camps de réfugiés ont été attaqués par les forces du régime, et les habitants massacrés.

    Pensez-y. Il y a maintenant quatre générations de réfugiés. Un migrant arrivé lors du Mandat Britannique en Palestine en 1946 pour travailler pour les autorités britanniques puis parti en 1948, se voyait garantir un soutien à perpétuité pour lui-même et pour tous ses descendants. Mais le mandat de l’UNRWA n’inclut pas la réinstallation, et aucun des pays hôtes – pas même l’Autorité Palestinienne (!) n’accordera la citoyenneté aux réfugiés palestiniens. Une fois « réfugié palestinien, toujours réfugié ».

    L’UNRWA compte environ 30 000 employés, dont 99% sont des Palestiniens. Son système éducatif est conçu pour enseigner le récit palestinien de la victimisation et de la vengeance. Dans la bande de Gaza, est enseignée également l’idéologie du Hamas de la haine des Juifs […] Ce n’est pas la façon dont le problème des millions de réfugiés de la Seconde Guerre mondiale a été résolu. C’est au contraire une façon de créer une classe dépendante, en croissance continue de personnes apatrides, mécontentes et furieuses. Le système de protection sociale encourage les familles nombreuses, alors que dans le même temps, le système des camps de réfugiés empêche la plupart des jeunes hommes de trouver du travail. Pas étonnant que les camps se soient révélés être un terreau fertile pour le terrorisme !

    Comment est-ce arrivé? Comment se fait-il que la communauté internationale ait tenté de résoudre tous les problèmes de réfugiés, à l’exception de celui-ci, qu’il a choisi d’exacerber…? La réponse est simple : c’est que les nations arabes la voulaient comme une arme contre Israël, et l’Occident leur a donné ce qu’ils voulaient pour ne pas mettre en péril son approvisionnement en pétrole.

    Il est intéressant de noter que seul le camp de réfugiés Shu’afat qui se trouve dans une zone sous contrôle civil israélien, accorde la résidence complète à ceux qui le demandent, et qui sont traités comme des résidents arabes de Jérusalem.

    (Malaassot – 5/01/18)


    La vérité sur l'origine des réfugiés palestiniens

    Faut-il rappeler que l’exode arabe d’Israël en 1948 était le résultat direct d’une guerre génocide contre l’Etat Juif nouvellement établi, guerre déclarée par tous ses voisins arabes, y compris les Arabes d’Israël !

    Si les Arabes avaient accepté le plan de paix de l’ONU – deux États pour deux peuples – il n’y aurait pas de réfugiés palestiniens. Au cours de la bataille féroce d’Israël pour sa survie – une bataille dans laquelle il a perdu un pour cent de sa population, y compris de nombreux survivants de l’Holocauste et des civils – environ 700 000 Arabes locaux ont été déplacés. Beaucoup sont partis volontairement, après qu’il leur a été promis un retour glorieux après l’inévitable victoire arabe. D’autres ont été chassés. D’autres pourraient resituer leurs maisons dans ce qui est devenu Israël… D’autres étaient des arrivées relativement récentes de pays arabes comme la Syrie, l’Égypte et la Jordanie.

    Le sait-on ? Environ le même nombre de Juifs ont été déplacés de leurs terres arabes pendant cette période. La quasi-totalité d’entre eux ont pu retracer leur héritage depuis des milliers d’années, bien avant que les musulmans et les Arabes ne deviennent la population dominante. Comme les Arabes palestiniens, certains sont partis volontairement (de leurs pays arabes) mais beaucoup n’avaient aucun choix réaliste. La plupart ont été forcés de fuir suite à des menaces, pogroms et décrets légaux, laissant derrière eux des milliards de dollars de biens, et les tombes de leurs ancêtres.

    Les similitudes sont frappantes, mais les différences aussi.

    La différence la plus significative est entre la façon dont Israël a traité les Juifs qui ont été déplacés et celle dont la partie arabe et musulmane a traité les Palestiniens qui avaient été déplacés par une guerre qu’ils avaient eux-mêmes déclenchée.

    Israël a intégré ses frères et sœurs du monde arabe et musulman. Le monde arabe a mis ses frères et sœurs palestiniens dans des camps de réfugiés, les traitant comme des pions politiques – et des plaies purulentes – dans sa guerre persistante contre l’Etat juif.

    Cela fait maintenant 70 ans que cet échange de populations s’est produit. Il est temps de mettre fin à la charade mortelle consistant à appeler les Palestiniens déplacés, des « réfugiés ». Presque aucun des cinq millions d’Arabes qui cherchent maintenant à revendiquer le statut de réfugié palestinien n’a jamais été en Israël. Ils sont les descendants – certains assez éloignés – de ceux qui ont réellement été déplacés en 1948. Le nombre d’Arabes survivants qui ont été personnellement chassés d’Israël par la guerre commencée par leurs frères n’est pas plus que quelques milliers, probablement moins. Peut-être qu’ils devraient être indemnisés, mais pas par Israël. La compensation devrait provenir des pays arabes qui ont saisi illégalement les biens de leurs anciens résidents juifs qu’ils ont forcés à quitter leurs pays !

    Dans la vie comme dans la loi, il existe des statuts de limitations qui reconnaissent que l’histoire change le statu quo. Le temps est venu – en effet il est grand temps – que le monde arrête de traiter ces Palestiniens comme des réfugiés. Ce statut a pris fin il y a des décennies. Les Juifs qui sont venus du Maroc en Israël il y a de nombreuses années ne sont plus des réfugiés. Les parents des Palestiniens qui vivent en dehors d’Israël depuis près de trois quarts de siècle ne le sont plus non plus.

    (www.gatestoneinstitute.org/12014/refugee-jews-morocco-palestinians-israel)


     
     

    Le « droit au retour » vise le retour des « réfugiés » palestiniens qui ont fui les combats de la guerre d’indépendance en 1948, poussés par les leaders arabes de l’époque. Les exemples sont légions. Deux peuvent l’illustrer ((Le Causeur – 16/05/18) :

    « Nous écraserons le pays avec nos fusils et nous détruirons tous lieux où les Juifs chercheront refuge. Les Arabes devront emmener leurs femmes et leurs enfants à l’abri pendant le danger, après quoi toute la Palestine sera à eux » (Déclaration du Premier ministre d’Irak – 15 mars 1948)

    « Nous jetterons à la mer les bandes sionistes criminelles et il ne restera plus ainsi un seul Juif en Palestine. Pour que nos armées victorieuses puissent accomplir leur mission sacrée sans s’exposer à faire des victimes parmi nos frères arabes, il faut que ceux-ci quittent provisoirement le pays, afin que nos combattants exercent, dans une liberté totale, l’œuvre d’extermination » (Déclaration du recteur de la mosquée d’Al Azhar –  24 mars 1948).

     

    Aujourd’hui, quand l’armée d’Israël élimine un terroriste qui a massacré, mutilé, brisé des vies innocentes, les dirigeants palestiniens appellent à la vengeance et honorent les familles du courageux « martyr ». On n’ose penser à ce qui surviendrait, à l’ONU et dans le monde entier, si une seule fois depuis l’existence de l’Etat d’Israël, les Israéliens avaient émis l’idée de se débarrasser de leurs voisins ennemis qui causent tant de mal à leur population; des ennemis qui eux, ne cachent pas leurs intentions de génocide envers Israël…

    Les Arabes eux-mêmes le confessent : « C’est ce qui nous diffère d’eux : aimer la mort comme ils aiment la vie… Personne, ni même les lois, ne pourront enlever cette croyance, cette idée que mourir martyr est la plus belle chose dans la vie d’un croyant… » (Idriss Sihamedi – président de l’association Barakacity).

     
     

    Une réflexion pertinente de Jean Vercors sur les réfugiés juifs et palestiniens

    Pourquoi y a-t-il encore des réfugiés palestiniens ?

    Visitez Israël et vous serez surpris par le nombre de couleurs que vous verrez. Je ne parle pas des couleurs des bâtiments ou du paysage; je parle des gens de couleur, noir, blanc, basané ou jaune.

    Israël est une véritable Organisation des Nations Unies. Parce qu’Israël est une nation de réfugiés, qui viennent des quatre coins du monde. Et plus de la moitié d’entre eux sont de pays… arabes !!

    A la suite de l’attaque des pays arabes contre Israël en 1948, plus de 850 000 Juifs ont été expulsés ou ont fui le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, des pays arabes où ces Juifs vivaient depuis plus de deux mille ans : Maroc, Algérie et Tunisie, Libye, Égypte, Yémen, Syrie, Liban et Irak, et des pays musulmans non arabes tels que la Turquie et l’Iran […]

    Pourquoi leur histoire est-elle si peu familière pour la plupart des gens?

    La raison la plus importante est qu’ils ne sont pas restés longtemps réfugiés. Mais ils étaient très certainement des réfugiés : la grande majorité a été forcée de quitter sa maison, ses possessions et ses entreprises. En d’autres termes, ils sont venus en Israël sans rien. Quelque 650 000 Juifs contraints de fuir l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont devenus citoyens d’Israël.

    Les 200 000 autres ont fui vers les États-Unis, le Canada, l’Australie et d’autres pays occidentaux. Pour vous donner une idée du peu de Juifs qui restent dans les pays arabes, considérons ces chiffres:

    • Il y avait 265 000 Juifs au Maroc; aujourd’hui moins de 7000. • Il y avait 150 000 Juifs en Irak en 1948; aujourd’hui il y en a moins de 10. • Il y avait 140 000 Juifs en Algérie; aujourd’hui, il y en a moins de 50. • Il y avait 75 000 Juifs en Egypte; aujourd’hui moins de 20. • Il y avait 65 000 Juifs en Iran; aujourd’hui moins de 10 000. • Il y avait 5 000 Juifs au Liban; aujourd’hui moins de 30. • Il y avait 38 000 Juifs en Lybie; aujourd’hui zéro. • Il y avait 30 000 Juifs en Syrie; aujourd’hui moins de 100. • Il y avait 55 000 Juifs au Yemen et Aden; aujourd’hui moins de 300.

    Le schéma est le même en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Maintenant, comparez ces réfugiés juifs oubliés avec les réfugiés les plus célèbres du monde : les Palestiniens. Comment se fait-il que les réfugiés juifs ne suggèrent même pas une réflexion après coup, mais que les Palestiniens soient la population de réfugiés la plus durable et la plus généreusement soutenue de l’histoire du monde ?

    La réponse est purement politique : Après l’indépendance d’Israël en mai 1948, les nations arabes environnantes ont attaqué le nouvel Etat juif. En conséquence, environ 700 000 Arabes vivant en Israël ont fui. Beaucoup sont partis à cause de la guerre, et beaucoup l’ont fait parce que les dirigeants arabes leur ont dit de quitter les régions Juives. L’idée était qu’ils reviendraient une fois que les Juifs et leur Etat auraient été détruits.

    Khalid al Azm, le Premier ministre syrien en 1948-1949, a reconnu ce rôle arabe en persuadant les Arabes Palestiniens de partir. Dans ses mémoires, il écrit: « Depuis 1948, nous demandons le retour des réfugiés chez eux. Mais nous sommes nous-mêmes ceux qui les ont encouragés à partir ». C’est ainsi que la crise des réfugiés arabes, rebaptisés plus tard, a été créée.

    En 1949, les Nations Unies ont créé l’UNRWA (l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés palestinien), la plus grande et la seule agence de l’ONU à long terme jamais créée pour s’occuper d’un seul groupe de réfugiés. Soixante-dix ans plus tard, cette agence existe toujours et appelle encore les Palestiniens, leurs enfants et leurs petits-enfants, des « réfugiés ». Un titre qui se transmet de père en fils. Elle dispose d’un budget annuel de plus d’un milliard de dollars, financé principalement par les États-Unis et l’Union Européenne.

    • Combien les réfugiés juifs expulsés du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ont-ils reçu de l’ONU? • Combien Israël a-t-il reçu d’aides pour leur intégration? • Combien en reçoit-il aujourd’hui?

    La réponse à ces trois questions est la même: Zéro. Alors, la prochaine fois que vous entendrez quelqu’un parler des réfugiés palestiniens, demandez-leur pourquoi ils ne parlent jamais des réfugiés juifs…

    (Par liguedefensejuive- 1 janvier 2018)


     
     

    « Le véritable problème de ce qu’on l’on appelle « les réfugiés palestiniens » tient exclusivement au refus des pays arabes de les intégrer dans leur population » (Maître Bertrand Ramas-Muhlbach – 09/09/2018).

     
     

    La Palestine et les Juifs - Aujourd'hui : une guerre idéologique

    Au cours des 400 ans qui ont précédé la Première Guerre mondiale, la Palestine faisait partie de l’Empire ottoman. Elle appartenait donc aux Turcs, et non aux Arabes, et encore moins aux Arabes de Palestine. Car il n’y a jamais eu de pays appelé Palestine, qui de plus gouverné par ses habitants arabes. Ce n’était pas une terre arabe. Ni les Juifs ni les Britanniques ne l’ont volée aux Arabes. Les premiers sionistes sont venus sans le soutien d’une quelconque puissance impérialiste ou colonialiste. Ils ont acheté (très cher) les terres sur lesquelles ils se sont installés. Au cours de la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne ne s’est pas emparée de la Palestine face à une population indigène inoffensive. Elle a pris cette terre non pas aux Arabes, mais à la Turquie qui s’était jointe à ses ennemis contre les Alliés dans la guerre. Les Arabes de Palestine se sont battus pour la Turquie et contre la Grande-Bretagne. C’était un territoire ennemi.

    Lloyd George Balfour et d’autres responsables soutenaient le sionisme, qui était une réponse à la question historique juive, un moyen de remédier à certains dommages honteusement causés au peuple juif au cours de l’histoire […]

    A l’instar de la récente loi israélienne sur l’État-nation du peuple juif, la Déclaration Balfour stipulait : « Rien ne doit être fait qui puisse porter atteinte aux droits civils et religieux des communautés non-juives en Palestine ».

    La Palestine n’était qu’une petite partie d’une vaste région que les forces britanniques étaient en train de conquérir sur les Turcs. Bien que la plupart des Arabes se battaient pour les Turcs, les Alliés engagèrent le peuple arabe sur la voie de l’indépendance et de l’autodétermination nationale dans cette vaste région. Mais la minuscule Terre Sainte avait un statut particulier. C’était un territoire où chrétiens et juifs du monde entier avaient des intérêts profonds.

    Considérer les Arabes comme un seul peuple était un principe de base du mouvement nationaliste arabe. En février 1919 par exemple, le premier Congrès palestinien s’était efforcé d’expliquer pourquoi la Palestine n’était pas un pays. Les résolutions adoptées disent que la Palestine n’a jamais été séparée de la Syrie […] Les autorités britanniques ne la considéraient pas comme une nation distincte […]

    Naturellement, le peuple arabe aspirait à être majoritaire partout. Mais alors, les Juifs ne le seraient nulle part. Les Alliés victorieux n’ont pas estimé que c’était juste.

    En 1922, Arthur Balfour répondit à la critique selon laquelle la Grande-Bretagne avait été injuste envers la race arabe en rappelant que « c’était grâce en grande partie au sang britannique, à la compétence et à la vaillance, au commandement des généraux et aux troupes acheminées de tout l’Empire britannique… que la libération de la race arabe de la domination turque avait été réalisée.”

    Selon Curzon, le sionisme était condamné parce que les Juifs ne sauraient pas cultiver et ne sauraient pas combattre. Il décrivait la Palestine comme une « terre pauvre, petite et aride, regorgeant de malaria, de fièvres, de pathologies ophtalmiques etc.., ruinée par des siècles de négligence et de mauvaise gestion » […] Mais il avait tort. Les Juifs réfutèrent son scepticisme de façon, je pense, tout à fait étonnante. Ils apprirent à cultiver la terre et … à combattre.

    Leur art militaire a poussé leurs ennemis à se replier prudemment sur le champ de bataille politique. D’où la guerre idéologique actuellement menée contre Israël aux Nations Unies, sur les campus universitaires, dans les journaux, etc… La campagne visant à délégitimer Israël a été couronnée de succès.

    (D’après Douglas J. Feith – Extraits d’une publication du 24/10/18 sur le site lemonde.co)


     
     

    “La Palestine détient une position unique parmi les pays d’immigration juive. Elle est le seul pays vers lequel le Juif arrive avec la sanction internationale de droit et non de pitié” soulignait le mémorandum de l’Agence Juive à la Conférence d’Evian en juillet 1938 cité par Shlomo Katz.

     
     

    Les incroyables paroles d'un prince saoudien

    « Les Palestiniens doivent mettre fin à leur occupation des terres juives historiques de Judée-Samarie (Cisjordanie); l’Arabie Saoudite est financièrement capable d’aider les Palestiniens à habiter de façon permanente parmi leurs frères arabes […] Je suis moi-même un Arabe musulman ardent, donc je ne peux pas trahir mes coreligionnaires, mais cela ne doit pas m’empêcher de dire la vérité, et la vérité ne peut pas se révéler à mes frères arabes à moins que quelqu’un commence à les éduquer sur leur véritable histoire, et expurger tous ces dogmes entièrement fallacieux inscrits sur leur âme. J’ai étudié une myriade de livres et d’articles impartiaux sur le judaïsme et la nation juive, et je ne peux pas être un musulman sincère si j’ignore que le Seigneur a donné les terres au prophète Ibrahim (paix soit sur lui). Le Tout Puissant lui a donné toutes les terres pour lui et sa progéniture pour toujours, donc, moralement parlant, les Palestiniens occupent illégitimement les terres juives historiques de Judée et de Samarie, la rive occidentale du Jourdain. »

    (Al-Waleed bin Talal. 7 oct. 2016 – Riyad – journal Al Watan – paru le 10 oct. sur lemonde.co)


     
     

    Plusieurs dirigeants de l’OLP ont avoué que le peuple palestinien est un peuple inventé et constitué de diverses nationalités ! « Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un Etat palestinien n’est qu’un moyen de poursuivre notre lutte contre l’Etat d’Israël pour l’unité arabe. En réalité, il n’y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais. » (Zuheir Mohsen, dirigeant de l’OLP, interview donnée au journal néerlandais Trouw, en mars 1977).

    A l’occasion des 53 ans de la création du Fatah par Yasser Arafat, les médias ont publié de nombreuses vidéos de son leader Arafat. Mais ils ont volontairement omis une vidéo essentielle où le leader du Fatah avoue que le « peuple Palestinien » n’a été créé que pour combattre Israël.

     
     

    Kasim Hafeez au Conseil des Droits de l'homme de l'ONU - Mars 2019

    La mascarade se poursuit à Genève. Le conseil des droits de l’Homme des Nations unies a de nouveau voté l’adoption d’un rapport accusant Israël cette fois de crimes contre l’humanité (!) pour sa gestion des manifestations violentes sur la frontière avec la bande de Gaza. Le Hamas n’a pas été cité… C’est un intervenant inattendu qui va énoncer quelques vérités aux délégués du Conseil qui s’acharnent contre Israël. Au nom du CUFI (Christians United for Israel) il met en lumière la vérité dans l’un des domaines les plus sombres de l’antisémitisme institutionnalisé sur la planète.

    Extraits : « Mon nom est Kassim Hafeez. J’ai été éduqué en tant que musulman radical. On m’a appris à haïr les juifs et Israël depuis mon plus jeune âge. La haine avait tellement forgé mon identité, qu’à mes 20 ans et pour atteindre mon but, je justifiais le terrorisme et le meurtre d’innocents qui n’avaient pas la même conception du monde que moi […] Mais ne vous y trompez pas. Ceux qui utilisent l’antisémitisme à l’ONU dans ce conseil pour bâtir leur carrière et leur politique étrangère sur le fondement de la haine des Juifs, seront jugés sévèrement par l’histoire. Lorsque vous diabolisez l’État juif, cela ne fait que démontrer votre faillite morale et rien de plus. Je le sais parce que j’avais tout aussi tort par le passé ».

    (Paru sur coolamnews – 25/03/19)


     
     
     De jeunes musulmans illustres ont découvert la vérité sur Israël.
     
     

    Un ex-terroriste du Fatah emprisonné en Israël, Walid Shoebat

    Walid a eu le temps de réfléchir à l’endoctrinement qu’il a subi depuis son plus jeune âge. Il fut totalement bouleversé en découvrant les Écrits bibliques, et s’est envolé vers les Etats Unis. Voici ce qu’il a écrit, et que beaucoup de révisionnistes de l’histoire ne veulent tout simplement pas accréditer : « Le 4 juin 1967 alors que j’étais citoyen Jordanien, je suis devenu en un jour Palestinien. Nous n’avons jamais été gênés par notre nationalité jordanienne alors. L’enseignement de la destruction d’Israël faisait partie de notre programme scolaire. La fixation contre les Juifs est devenue grave uniquement lorsque les Juifs sont arrivés à Jérusalem. Soudainement, nous étions tous Palestiniens. Ils retirèrent l’étoile du drapeau Jordanien et nous avions un drapeau palestinien.

    J’ai enfin réalisé que tout ce qui m’avait été enseigné alors n’était que mythes et mensonges. Il est de mon devoir de rétablir la vérité.”

    Cet homme est passé par l’islamisme, par des activités terroristes. Il sait de quoi il parle.


    Un jeune arabe israélien, Mohammad Zoabi

    Mohammed Zoabi a été obligé de passer dans la clandestinité, pour avoir exprimé son amour et sa loyauté envers le pays d’Israël : « Mon charmant pays d’Israël, avec tous ses aspects positifs et négatifs, me trouble tant que je me suis senti prêt à prendre sa défense et en payer le prix… simplement parce que c’est mon pays et que je n’en ai pas d’autre ! Malheureusement pendant les cinq derniers mois j’ai dû vivre en dehors d’Israël et tenir un profil bas, je continue à vivre des choses que les adolescents vivent rarement […] Je n’ai que 17 ans, et je n’ai pas de passé criminel […] Mais pour avoir dit Non à l’antisémitisme, à l’extrémisme arabe et musulman; plus encore, pour essayer de montrer au monde le visages d’Arabes et de musulmans ordinaires qui en ont tout simplement assez de la corruption et de la haine de leurs dirigeants, mais ont peur de le dire publiquement…

    Mes chers amis, je l’ai dit et je le redirai encore : je suis avant tout un être humain fier ! Je suis aussi un fier Israélien sioniste arabe musulman ! Je suis né Israélien et je mourrai Israélien. » (Via son facebook en 2015)


    Mosab Hassan Yousef (surnommé le prince vert)

    Mosab H. Y. est le fils du Cheikh Hassan Yousef, un des fondateurs du Hamas. « J’étais motivé par la colère et la vengeance. J’avais des raisons personnelles, nationales, idéologiques et politiques de haïr l’Etat d’Israël. C’est pourquoi j’ai accepté de rejoindre le Shin Bet pour les manipuler, pour donner des informations au Hamas et faire mal à Israël de l’intérieur. »

    C’est aussi en prison qu’il a réalisé la véritable nature du Hamas : « J’ai appris la vérité par mon pire ennemi, non pas par mon peuple… J’ai continué à travailler pour Israël, pour comprendre ce qui se passait, et j’ai vu une réalité complètement différente… Le Hamas fait vivre un véritable cauchemar, non seulement aux Israéliens, mais aussi à de nombreux innocents à Gaza… Tout le monde avait peur. Si vous vous positionnez contre, vous êtes accusés de trahison et exécuté sans procès; c’est ça la réalité à Gaza. »

    Voir ce que le Hamas fait à son propre peuple l’a amené à faire ce qu’il pouvait pour sauver des vies humaines, israéliennes et palestiniennes. « Les Palestiniens laissent les extrémistes les conduire à l’abattoir… Il est temps que le monde arabe se lève contre le Hamas pour le peuple palestinien. »

    Yousef s’est réfugié aux USA depuis 2010, il s’est converti au christianisme et a été désavoué par sa famille. « Je suis peut-être seul, mais je suis en paix avec moi-même. » (Interview à I24news-Nov. 2014)


    Hypocrisie sans nom ! De nombreux Palestiniens souffrent ailleurs que dans la bande de Gaza

    Le journaliste arabe israélien Khaled Abu Toameh dénonce l’hypocrisie des nations et des médias qui se taisent sur le sort des Palestiniens vivant dans les pays arabes, sans-doute parce que là il est difficile d’imputer leur misère à Israël ! […] Cet aveuglement nuit d’abord et avant tout aux Palestiniens eux-mêmes car il autorise les gouvernements arabes à poursuivre leur politique de répression […] Exécutions, tortures et déportations pour les Palestiniens en Syrie, un enfer quotidien dont les conséquences se feront sentir longtemps. Ils ont été soumis aux formes les plus cruelles de torture et de dénuement… Selon certains médias, les autorités syriennes détiennent les corps de centaines de Palestiniens morts sous la torture en prison. Personne ne sait où ils se trouvent… parmi eux 54 mineurs ces dernières années. Des témoignages font état d’une mafia de commerce d’organes (y compris de femmes et d’enfants). Les associations humanitaires et la Croix Rouge internationale n’ont pas le droit de visiter les centres de détention, où plus d’un millier de ces malheureux croupissent depuis des années; des centaines d’autres sont portés disparus…

    80% des Palestiniens vivant en Syrie ont perdu leur emploi ou leur entreprise depuis le début de la guerre, près de 80 000 ont fui vers l’Europe, 31 000 au Liban, 17 000 en Jordanie, 6000 en Egypte, 8000 en Turquie, 1000 à Gaza. Beaucoup sont morts de malnutrition ou de manque de soins médicaux dans les camps de réfugiés qui ont été assiégés et bombardés. La communauté internationale et les médias occidentaux ne le relèvent pas, et pour les pays arabes, ces Palestiniens tués, torturés et affamés à mort, ne semblent présenter aucun intérêt.

    Exemple : le camp de Yarmouk . Avant la guerre civile syrienne en 2011, plus de 100 000 Palestiniens vivaient à Yarmouk, un camp de 2,11 kilomètres carrés. Fin 2014, il n’y restait plus que 13 000 personnes. Quand l »Etat islamique a réussi à prendre le contrôle de plusieurs quartiers, la vie des résidents palestiniens est alors devenue un enfer, quotidiennement livrés à des atrocités […] N’imaginons pas qu’avant l’arrivée de l’E.I. les conditions de vie des Palestiniens étaient bonnes. Régulièrement, l’armée syrienne et le FPLP-GC ont pilonné les maisons et les écoles de Yarmouk à l’artillerie lourde, tuant ainsi des dizaines de réfugiés, femmes et enfants. L’armée syrienne et son séide terroriste palestinien assiègent le camp, empêchant l’arrivée de nourriture et de médicaments. L’eau courante a été coupée pendant plus de 1237 jours. Un autre camp palestinien, Dera’ah, fut privé d’eau pendant plus de 1398 jours.

    Le sort de Yarmouk est un microcosme de la tragédie qui accable les Palestiniens de Syrie depuis le début de la guerre civile […] Concernant ces souffrances-là, Ramallah n’a rien à dire… Peut-être, qui sait, au Conseil de sécurité des Nations Unies, ce sujet rejoindra t-il « la construction de colonies » comme problème digne de la condamnation mondiale…

    Khaled Abu Toameh, un journaliste primé, basé à Jérusalem (Gatestone Institute – Extraits – 30/01/17).


     
     

    Les intentions avouées du Hamas.

    Le Hamas déclare clairement qu’il n’abandonnera pas son rêve de « libérer la Palestine, du fleuve à la mer », même si cela signifie la famine et la mort de son peuple. Tant l’Autorité palestinienne que le Hamas auraient pu assurer une vie meilleure à leur peuple il y a longtemps, mais ce n’est pas ce qu’ils pensent. Ils se soucient moins de leur peuple et plus de trouver des moyens de miner et de délégitimer et de diaboliser Israël et les Juifs […] Ce conflit ne concerne pas l’argent ou l’aide économique. Il s’agit de l’existence d’Israël, dont les Palestiniens refusent de tolérer la présence au Moyen-Orient. C’est l’essence même du conflit israélo-palestinien.
    (Par Bassam Tawil – Extraits – gatestoneinstitute.org – 13/07/18)

    Depuis 2005, Israël a été forcé par les nations de donner le territoire de la Bande de Gaza (le Goush Katif, qui faisait partie du territoire de Juda), aux Palestiniens de Gaza… et le Hamas est né, avec comme seul but, la destruction d’Israël. Pour ajouter aux attaques incessantes de roquettes, des milliers d’hectares de forêts et de cultures ont été détruits par des ballons incendiaires de Gaza.

    Fathi Hammad, membre du Bureau politique du Hamas, ancien ministre de l’Intérieur du Hamas, a prononcé une allocution lors d’un rassemblement à Gaza le 12 juillet 2018, dans lequel il a déclaré : « La première étape est le nettoyage de la saleté des Juifs, leur déracinement de Palestine aura lieu avant 2022. La deuxième étape sera l’établissement du Califat après que la nation aura été guérie de son cancer, les Juifs, si Allah le veut ».

    C’est le même qui avait fait une brève apparition à la marche du retour avec dans les bras une fillette comme bouclier humain car il sait très bien, lui, que l’armée israélienne a des consignes de tirs très strictes et ne vise jamais les enfants !
    C’est le même qui avait déclaré qu’il était d’origine égyptienne, comme Yasser Arafat et la moitié des Gazaouis, et que l’autre moitié était originaire de la péninsule arabique !
    (Source : danilette.com – lemonde.co -20/07/18)

     
     
     

     » Quand la bassesse règne parmi les humains, les méchants se promènent de toutes parts » (La Bible – Psaume 12:9)

     

    « Il y a six choses pour lesquelles l’Éternel Dieu a de la haine, et même sept qu’Il a en horreur : les yeux hautains, la langue trompeuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui médite des projets injustes, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui profère des mensonges, et celui qui déchaîne des querelles entre frères. » (La Bible – Proverbes 6:16-19)


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