La pensée de l’éternité

La pensée de l’éternité
Les témoignages qui suivent prouvent que les hommes ne peuvent enlever de leur pensée la question de l’éternité.

 
 
 

La Bible dit que Dieu, le Créateur Lui-même, a gravé l’éternité en chacun d’eux. Homme de toute condition, de toute culture, de toute époque… Dieu le cherche. En voici quelques exemples au travers de ces témoignages :

 
 
 

Témoignage : Le marin thaïlandais

Un jour, Dindhal, un jeune garçon thaïlandais de dix ans, reçut un dépliant. Il y était question d’un personnage nommé Jésus. Dindhal le lut et ressentit que le contenu était absolument vrai. Mais il ne pouvait pas bien comprendre ce qui était écrit là, aussi le donna t-il à ses parents. Bouddhistes de confession, ils lui conseillèrent d’oublier ce qu’il avait lu.

Quelques années plus tard, Dindhal travailla sur un bateau de croisière. Lorsque celui-ci fut amarré dans le port de Seward en Alaska, pour que les passagers puissent passer la journée à terre, Dindhal décida de téléphoner à ses parents. Pour ce faire, il se rendit à la Seaman’s Mission. Là, on lui donna une brochure et un Nouveau Testament. Dindhal était heureux d’avoir un livre à lire dans sa langue maternelle, et il commença sa lecture le jour-même.

A son grand étonnement, il y découvrit ce même nom, « Jésus », qu’il avait vu sur le dépliant quinze années auparavant. Il poursuivit sa lecture, apprenant toujours et encore au sujet de ce Jésus, c’est à dire qu’Il était le Fils de Dieu, qui aimait les hommes et voulait les sauver de leurs péchés. Aussi, Il était venu sur la terre, pour mourir sur une croix, mais Il était ressuscité, de sorte que tous ceux qui croyaient en Lui pouvaient être sauvés.

Dindhal lut et relut tout cela plusieurs fois, avec un grand intérêt. Il voulait faire partie des rachetés. Il demanda alors à Jésus de pardonner ses péchés, et de le sauver. Maintenant, il peut se plonger plein de joie et de reconnaissance dans ces Ecritures qui l’ont aidé à satisfaire la soif de son âme, et qui l’ont amené à connaître Jésus le Sauveur !

(The Good Seed – 04/04/2016)

« Jésus-Christ est venu chercher et sauver ce qui était perdu ! » (Luc 19:10)


Témoignage : Demander un signe ?

Je n’avais pas besoin de Dieu. L’armée m’avait appris à croire en moi, en la puissance de ma volonté, en mon potentiel caché. Je m’en tirais très bien sans Lui. Et pourtant, je voulais savoir si, oui ou non, Dieu existait. Après tout, peut-être existait-Il vraiment.

J’ai passé beaucoup de temps à réfléchir à ce problème. Un jour, comme j’en parlais à une amie, elle me dit : « Pourquoi ne demandes-tu pas à Dieu de te donner un signe pour prouver qu’Il existe ? »

J’ai aussitôt prié Dieu pour qu’Il me donne un signe manifeste de son existence. Je Lui ai proposé de me réveiller à … heures, alors que je me réveillais tous les jours sans réveil entre sept et huit heures. Je répétai plusieurs fois cette requête mais sans résultat. « C’est donc que Dieu n’existe pas » me disais-je. Mais j’ai rencontré un chrétien qui m’a dit : « Dieu ne va pas te prouver son existence. Il veut que tu fasses un pas vers Lui ».

Je n’étais pas d’accord mais ces paroles m’ont profondément interpellé. Quelques jours plus tard, seul dans ma chambre, j’ai pris un Nouveau Testament, en demandant à Dieu : « Si tu existes vraiment, fais que j’ouvre le Livre à l’endroit où tu veux que je lise ». J’ai ouvert au hasard et mes yeux sont tombés sur ces lignes : « Cette génération… demande un signe; et il ne lui sera pas donné de signe, si ce n’est le signe de Jonas » (Luc 11:29).

J’étais stupéfait. Je comprenais que je ne devais pas chercher de signe. La Parole de Dieu était la réponse. Maintenant, c’était à moi de faire le pas de la foi. J’en étais convaincu, mais je remettais sans cesse cette décision à plus tard. Après plusieurs expériences, un soir d’avril 1983, j’ai demandé à Jésus d’entrer dans ma vie. Ce fut comme un plongeon en eau profonde, un pas en avant sans recul possible. Je me suis avancé vers Lui, et Il est entré dans ma vie. A partir de ce soir-là, un changement s’est produit en moi. Je ne compenais pas tout, mais je savais que Dieu existait, que Jésus était le Messie mort pour mes péchés, et qu’Il m’avait pardonné.

Le judaïsme rabbinique, comme les autres religions, compte sur les cérémonies et les règles extérieures pour améliorer progressivement la nature de l’homme. Ce dernier tente de gagner les faveurs et l’approbation de Dieu par ses efforts personnels. Il essaie de mériter le salut et la vie éternelle. Mais c’est une tentative désespérée et infructueuse. A l’inverse, Jésus-Christ nous propose une solution très simple résumée ainsi : « Donne-Moi ton coeur. J’ai déjà fait le nécessaire pour toi. Par mon sacrifice, je te purifie, je t’accorde le pardon, je te fais naître de nouveau. Je te donne un coeur tout neuf ! ».

Accepter cette offre est à la fois simple et si difficile ! Pour celui qui désespère de lui-même, rien de plus aisé que de recevoir ce don avec reconnaissance. Mais celui qui est imbu de lui-même doit faire preuve d’humilité et de soumission pour croire en Jésus, et accepter ce qu’Il nous offre dans son immense amour ! »

« L’Eternel a de la bonté pour l’âme qui le cherche […] Cherchez-Moi et vous vivrez ! » (Lam. de Jér. 3:25 et Amos 5:4)


Témoignage : Faire le vide ?

« J’ai occupé mon coeur à rechercher et à explorer par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c’est une occupation ingrate » (Eccl. 1:13)

Je suis né en 1941 de parents athées. J’ai donc grandi sans enseignement religieux. Cependant je me posais beaucoup de questions – et mon frère avec moi – sur le sens de la vie. Pendant nos études, mon frère m’a prêté des ouvrages sur l’hindouisme et le bouddhisme. La vie du Bouddha me fascinait, et je désirais ardemment cette libération intérieure qu’il semblait avoir acquise. Je lisais aussi beaucoup de livres ésotériques, je tentais de pratiquer la méditation, la respiration alternée, la récitation de mantras, bref tout un mélange de pratiques diverses. Aucune ne m’a satisfait bien longtemps…

Je me suis marié, nous avons eu deux enfants. J’avais tout pour être heureux, mais j’étais malgré cela de plus en plus désespéré dans ma quêtre spirituelle. Il fallait faire le vide, mais le vide n’est-il pas le contraire de la vie, un chemin de mort ? Aujourd’hui je comprends pourquoi à cette époque, je ne pensais qu’à me suicider. N’y avait-il pas un lien entre tous ces chemins vers le vide et ce désir de mort qui m’envahissait de plus en plus ?

C’est du fond de cette fosse que Jésus Christ est venu me tirer. Depuis deux ans, mon frère m’écrivait de Grenoble pour me dire qu’il avait rencontré le Christ suite au témoignage d’un de ses collègues. Pour moi, je ne voulais pas entendre parler du christianisme. Je méprisais Jésus. Toutefois, petit à petit, une lueur d’espoir est née en moi. Et si mon frère avait raison ? De toutes façons, je n’avais rien à perdre, et, pourquoi pas, quelque chose à gagner.

Nous nous sommes retrouvés pour les fêtes de Noël, dans un chalet alpin. Mon frère m’a donné un Evangile de Jean. Je l’ai lu dans la cuisine quand chacun a été couché. J’avais souvent utilisé une Bible au cours de mes études d’anglais à la Sorbonne. Mais la Bible était pour moi juste un ouvrage parmi d’autres. Et voici que ce soir-là, chaque mot qui était écrit jaillissait du texte, prenait vie, et s’emparait de mon coeur ! La lecture que je faisais n’était plus intellectuelle mais vivante : une relation avec Dieu m’apparaissait possible.

Le lendemain, c’était dimanche. Nous sommes allés dans une petite église évangélique d’Annecy où j’ai entendu des personnes de milieu très modeste exprimer leur reconnaissance à un Dieu vivant ! Quel contraste avec cette quête d’une réalité totalement impersonnelle et jamais atteinte ! J’ai pleuré à chaudes larmes. Jésus était venu faire sa demeure en moi ! De retour, je disais à tout le monde : « Il est vivant, Jésus est vraiment vivant ! » Jésus de Nazarethn’était plus seulement pour moi un personnage historique, Il m’apparaissait comme vivant aujourd’hui.

Depuis ce jour où j’ai cru que Jésus est mort pour mes péchés, j’ai reçu le pardon de Dieu. Cela fait quarante ans que je connais Jésus, j’ai eu bien des épreuves, mais celles-ci n’ont pas altéré la joie et la certitude de la vie avec Lui, qu’Il m’a données et qu’Il vous offre aussi aujurd’hui. (Christian C.)

« Le Seigneur est vraiment ressuscité ! La vérité est en Jésus ! Nous savons que Celui-ci est véritablement le Sauveur du monde ! » (Luc 24:34, Eph. 4:21, Jean 4:42)

(LBS – 06/10/2016)


Témoignage : Toute une vie avant la décision !

« Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur Jésus, qu’il soit anathème ! » (1 Cor. 16:22)

L’Anglais John Flavel (1627-1691) donna une fois un sérieux avertissement à partir de ce verset de la Bible. Il décrivit instamment et avec ferveur ce que signifiait être maudit par Dieu, qui prononçait Lui-même cette lourde et amère sentence. Le sérieux de cet avertissement impressionna profondément Flavel tout autant que ses auditeurs. Après le sermon, bouleversé, il hésita avant de demander la bénédiction de Dieu sur la congrégation et dit : « Quiconque ici présent n’aime pas le Seigneur, qu’il soit maudit ! ».

Parmi les auditeurs se trouvait un jeune garçon de quinze ans environ, du nom de Luke Short. Le message qu’il venait d’entendre n’eut aucun effet sur lui à ce moment-là. Peu de temps après, il prit la mer, et plus tard il émigra en Amérique. Il devint fermier et travailla dans ses champs activement jusqu’à un âge très avancé.

Un jour, ses pensées le ramenèrent vers sa jeunesse. Plusieurs épisodes lui revinrent à l’esprit. Alors, comme frappé par un éclair, il se souvint de ce sermon particulier, et cette pensée « Celui qui n’aime pas le Seigneur Jésus-Christ est anathème », le tourmentait.

Plus de 85 ans après, ce texte l’atteignait, avec toute sa force, lui qui était maintenant centenaire. Il prit conscience de ses péchés, reconnut qu’il n’avait pas aimé le Seigneur Jésus, et qu’il demeurait donc sous la condamnation. Cette réflexion l’amena à confesser ses péchés. Il confessa toute sa vie coupable au Seigneur, et trouva le pardon et la paix. Dieu lui accorda encore quelques années sur la terre, durant lesquelles Luke Short vécut manifestement avec et pour son Dieu.

(The Good Seed – 05/06/2015)

« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre coeur ! » (Heb. 4:7)


Témoignage : Et si Dieu existait ?

A Odessa, dans les années 1960, Irène, une jeune Russe, était en classe. Elle s’ennuyait à mourir, nous dit-elle, car le thème du cours était, une fois de plus, l’athéisme : « Dieu n’existe pas. Il n’y a que quelques idiots qui croient en Lui ».

-Mais si c’était vrai, se dit-elle, il suffirait de nous le dire deux ou trois fois, et le problème serait réglé. Cette insistance pleine de haine, ne cache t-elle pas la réalité ?

Au début, cela la mettait en colère : si Dieu n’existe pas, pourquoi est-on obligé d’écouter ces cours si ennuyeux de propagande athée ? Irène ne pouvait s’empêcher de penser : il doit y avoir un Dieu, et Il doit être fort. Elle ne Le connaissait pas, mais elle Le cherchait. Elle se mit à Le prier. Elle ne trouva pas l’aide qu’elle cherchait dans la littérature russe, mais voilà qu’elle reçut en cadeau une Bible, ce livre proscrit par les adeptes de l’athéisme. Sa lecture attentive lui fit connaître Jésus-Christ, le Fils de Dieu, sa vie, son sacrifice. Et pour elle, comme pour d’innombrables personnes avant et après elle, il fut le Chemin qui la conduisit à Dieu.

Oui, Dieu existe. Et Il ne se cache pas à sa créature. Même si nous Lui avons tourné le dos et si nous avons vécu sans Lui, Il s’est révélé. La vie de pureté et d’amour de Jésus-Christ, le don de sa vie sur la croix, sa résurrection nous font comprendre la grandeur de Dieu, son amour éternel et sa sainteté. Jésus-Christ, « venu chercher et sauver ce qui était perdu », répond toujours à la foi de celui qui désire sincèrement Le rencontrer et Le connaître.

(LBS – 14/09/2016)

« Le coeur honnête et bon qui reçoit la Parole et qui la retient avec persévérance est semblable à la bonne terre dans laquelle la semence va porter du fruit » (Luc. 8:15)


 
 
 

Sur les murs d’une station de métro à New-York, dans la 110ème rue de Manhattan, quelqu’un avait tagué : « Dieu est mort », Nietzsche. En affirmant que Dieu est mort, Nietzsche ne pensait pas à la mort de Jésus-Christ sur la croix (Christ est ressuscité !), mais il voulait éliminer toute idée de Dieu…

Quelques jours plus tard, on pouvait lire un nouveau tag au-dessous du premier : « Nietzsche est mort ! », Dieu. Cette deuxième affirmation est indiscutable. Nietzsche est mort en août 1900. On trouve sa tombe à Röcken en Allemagne. Il n’est pas le seul concerné par la mort. La Bible déclare : « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Héb. 9:27).

Quel moment terrible pour tous ceux qui sont morts sans Dieu, quand ils seront devant le Juge suprême pour avouer qu’ils l’ont éliminé de leur vie !

Dieu est la source de la vie et Il ne peut mourir. Il se présente souvent dans la Bible comme l’Eternel, c’est à dire Celui qui n’a ni commencement ni fin de vie. La mort et la résurrection de Jésus-Christ, c’est le moyen qui permet à Dieu d’établir une relation vivante avec chacun : celui qui se repent de ses péchés est pardonné, et le salut éternel lui est accordé par la foi dans le sacrifice de Jésus.

(D’après LBS- 20/06/2016)

 
 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle… Repentez-vous, et croyez à la Bonne Nouvelle ! » (Jean 3:16 – Marc 1:15)

 
 
 

Témoignage : Plus tard... Ce sera peut-être trop tard...

Un chrétien raconte l’expérience faite dans un avion allant à Chicago en 1979 :

« Je venais d’attacher ma ceinture de sécurité. Un homme d’une cinquantaine d’années s’est assis à côté de moi. Dans un échange cordial, nous en sommes venus à parler de la foi.

-J’estime que la religion est utile, me dit-il. Quand j’étais jeune, j’allais tous les dimanches à un cours biblique. -Aujourd’hui, pouvez-vous dire que vous êtes un chrétien né de nouveau, que vous avez la vie de Dieu ?

Un peu hésitant, il me répond : -Pas exactement. Voyez-vous, je suis tellement occupé par mon travail que je n’ai pas le temps de penser à ces questions. -Estimez-vous que vos occupations professionnelles sont importantes au point de vous faire négliger les questions spirituelles et éternelles ? -Ah, la vie est un rude combat… Mais j’ai l’intention de prendre ma retraite dans cinq ans, et alors je mettrai ma vie en règle avec Dieu. Actuellement je n’ai absolument pas le temps.

A l’atterrissage, nous nous sommes séparés. Il prenait un autre avion pour Los Angeles. Le soir-même, j’ai appris par la radio qu’un des moteurs de cet avion s’était détaché. L’appareil s’était écrasé et avait pris feu. Il n’y avait aucun survivant. »

(LBS – 06/08/16)


 
 

« Voici, c’est maintenant le temps favorable, c’est maintenant le jour du salut… Si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs ! » (2 Cor. 6:2 et Héb. 3:7)

 

« Nous vous en supplions ! Soyez réconciliés avec Dieu ! » (2 Cor. 5:20)


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