Le philosophe nihiliste a trouvé son Créateur

Le philosophe nihiliste a trouvé son Créateur
Témoignage – Il était alors ce qu’on appelle un nihiliste : puisqu’il n’y avait pas de Dieu créateur, donc d’intention derrière l’univers, rien n’avait de sens…

 
 
 

Ebloui par la découverte de la philosophie en terminale, j’ai décidé de l’étudier à l’université de Strasbourg. J’étais un nihiliste… L’humanité , apparue par accident, disparaîtrait de la même façon. Au fond, je me sentais très proche de ce personnage de Dostoïevski qui déclarait : « Si Dieu n’existe pas,alors tout est permis ».

Tandis que je promenais sur le monde ce regard sceptique et désabusé, mettant tout en doute, y compris la morale, un certain Mike m’a interpellé à la sortie d’un cours de philosophie. « Comment, lui ai-je objecté, peut-on être chrétien, si ce n’est par haine de la vie, frustration ou besoin d’arrière-mondes fantasmés ? »

Loin d’être décontenancé, Mike a répondu par des arguments à chaque fois justes et rationnels. Pour la première fois, je rencontrais un chrétien qui réféchissait sur sa croyance, qui faisait droit à la raison.

Pendant une année nous avons ainsi cheminé ensemble, essayant dans des discussions enflammées de nous convertir mutuellement, moi à ma vision d’un monde sans Dieu, lui au christianisme. En côtoyant Mike, je suis passé peu à peu d’un simple nihilisme à un athéisme militant : puisqu’il réfléchit, me suis-je dit, peut-être trouverai-je un moyen de le sauver. J’ai donc résolu de le suivre partout, à l’église, dans les groupes de prière et les rassemblements de croyants auxquels il était assidu. Tous ces chrétiens que je rencontrais, je me sentais le devoir de les ramener à la raison.

 
 

J’ai décidé de m’attaquer à la source de leur croyance, autrement dit d’ouvrir la Bible, de la lire attentivement et de dresser le catalogue de ses contradictions. Un soir, alors que j’étais en train de la lire avec l’objectif de la détruire, j’ai senti soudain une présence qui venait à moi et me disait : « Alexis, tu es pécheur, mais Je te pardonne car je t’adopte dès aujourd’hui comme mon fils ». Ce jour de juillet 2005 marque le début de ma conversion : j’ai fait l’expérience de Dieu en éprouvant sa présence aimante et miséricordieuse.

Depuis cette révélation, et jusqu’à mon baptême, j’ai changé ma relation aux autres, ma façon de voir le monde, de le penser. Selon mon ami Mike, même mon regard, jusqu’ici sombre et tourmenté, s’est éclairé. Pour autant, cette conversion a plus marqué le début de ma quête que son achèvement. Désireux de donner un fondement rationnel à l’expérience que j’avais vécue, j’ai choisi de consacrer ma recherche philosophique aux relations entre la raison et le christianisme. Mon diplôme en poche, j’ai posé dans la prière cette alternative : soit poursuivre dans la voie académique, soit faire connaître au grand public les trésors de la pensée chrétienne.

C’est dans cette seconde direction que le Seigneur m’a conduit. Depuis, je m’efforce de rappeler que, si Dieu se donne par l’expérience, Il se laisse aussi découvrir par la raison. Comment, en effet, peut-on aimer une personne sans chercher à la connaître, à comprendre qui elle est ?

Si Dieu se laisse parfois découvrir par l’expérience ou par la raison, seule la foi nous permet de connaître pleinement la révélation de Dieu en Jésus-Christ : « Tout cela a été écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, et qu’en croyant vous ayez la Vie par Son Nom ! » (Jean 20:31)

(Alexis – LBS – 09/2015)

 
 
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Nietzsche a osé proclamer un jour : « Dieu est mort ! »

Une autre fois il a répondu à quelqu’un qui l’interpellait : « Vous avez votre chemin, j’ai le mien. Quand au droit chemin, le juste, et le seul chemin, il n’existe pas ! »

Nietzsche est mort, et c’est là le chemin de tout homme. La Bible dit : « le salaire du péché, c’est la mort » (Rom. 6:23), « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Héb. 9:27). Mais : « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la Vie éternelle ! » (Jean 3:16)

« Moi Je Suis Le Chemin, La Vérité, La Vie ! Personne ne peut venir au Père que par moi » a dit le Christ (Jean 14:6).

 
 
 

Écoutons le témoignage du biophysicien Henri Devaux (1862-1956)

« Nous possédons deux révélations, la Création et les Écritures, toutes deux supérieures à l’homme. J’étudie avec admiration, depuis soixante années, le magnifique livre de la Création, et cette longue étude n’a fait que fortifier mon assurance que ces deux sources de témoignages sont en plein accord. Beaucoup de personnes disposées à croire sont troublées par l’affirmation maintes fois répétée que le récit biblique de la Création est contraire à la science. J’ai tenu, à la fois comme homme de science et comme chrétien, à venir affirmer le contraire. J’ai en effet acquis la certitude réfléchie que la Bible, loin d’être en contradiction avec la vraie science, celle des faits que l’on peut observer, et non des théories que l’on ne fait qu’imaginer, est, au contraire, en avance sur elle…

Quoique les termes employés dans le texte sacré soient partout très simples et compréhensibles par tous, ils ont été manifestement choisis de telle sorte qu’ils acquièrent une véritable valeur scientifique pour un naturaliste attentif. Ce choix est même si frappant, il montre une science si exacte de la nature des choses et des êtres, qu’il révèle le véritable auteur de ces récits: c’est le même que l’auteur de la Création elle-même. »

 
 
 
 

Témoignage : Mourir sans Dieu...

« Avant de perdre connaissance dans l’accident de voiture qui m’est survenu, j’ai vu défiler toute ma vie devant mes yeux. C’était vraiment comme dans un film, mais c’était si rapide et si impressionnant que je n’ai pu que crier: « O Dieu, ô Dieu, aie pitié de moi, pauvre pécheur! » Je revoyais des choses obscures et refoulées que je m’étais efforcé d’oublier….

Autrefois, je niais Dieu en permanence, mais c’était uniquement pour essayer de chasser les interrogations sur la philosophie athée qui remontaient sans cesse en moi. Et puis, j’ai eu beaucoup affaire avec des chrétiens. Je ne voulais pas devenir comme eux car je constatais que c’étaient des gens ordinaires et qu’ils commettaient aussi des fautes.

Sous le choc de l’accident, un cri, le cri de l’âme qui soupire après Dieu, s’est soudain fait entendre en moi: « Je ne peux pas mourir sans Dieu! » C’était juste avant que je perde connaissance… À cet instant, une certitude s’est imposée à moi: j’ai besoin de faire confiance au Christ, le ressuscité, il faut que je croie ce que les chrétiens disent de lui.

Ma conscience me brûlait et c’était tellement insupportable que tout en moi criait: « Seigneur, aie pitié de moi! » Dans sa grâce, Dieu a épargné ma vie, maintenant je suis, moi aussi, chrétien. J’appartiens au Fils de Dieu et je désire lui obéir. Merci, Seigneur, parce que ta paix et ton salut me sont donnés gratuitement ! »

Igor (LBS – 15/07/2015)


 
 
 
 

Selon la déclaration universelle des droits de l’homme, « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ».

La Bible le déclare aussi, mais elle ajoute que tous sont également pécheurs devant leur Créateur : « Il n’y a pas un juste, tous se sont égarés, ensemble ils sont pervertis… » (Rom. 3:10-11)

Si tous les hommes sont égaux à la naissance, car enfermés dans une même condition, à la fin de la vie par contre, le sort qui leur est réservé n’est pas le même pour tous, justement à cause de la liberté qui est la leur : car chacun possède une conscience et entend l’appel du Dieu Juste qui s’adresse à tous. Il est écrit que « Dieu ne fait acception de personne ». Ceux qui auront cru à l’oeuvre de la croix seront accueillis auprès du Seigneur Jésus pour une éternité de paix, alors que les incrédules et les moqueurs resteront éloignés de Dieu dans des souffrances éternelles.

 
 
 

« Il n’y a pas de différence, car tous ont péché… Tous ceux qui croient sont justifiés, gratuitement » (Rom. 3:22,24)

 

« Voici, Je mets aujourd’hui deux chemins devant toi, la vie et le bien, la mort et le mal… Choisis la Vie afin que tu vives ! » (Deut. 30:15, 19)

 

« Repentez-vous donc, et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés ! » (Actes 3:19)


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