Des témoins rétablissent la vérité

Des témoins rétablissent la vérité
Infos du Moyen-Orient. Les articles suivants ne paraissent pas dans nos grands médias. Ils nous apportent un éclairage sur l’historique et la réalité du conflit au Moyen-Orient.

 
 

Il revient donc à chacun d’en prendre connaissance, avec honnêteté et impartialité, et de mesurer la gravité d’une désinformation constante et diffamatrice, dont les conséquences sont désastreuses, tant sur le terrain que dans le monde entier, attisant ainsi les haines et les divisions, au lieu de favoriser la paix du « vivre ensemble » dont on nous parle tant…

 
 
 

Des témoignages concordants

Des ambassadeurs à l’Unesco en visite sur le Mont du Temple.

Généralement, lorsqu’une loi ou une résolution sont votées, il s’agit de l’étape ultime d’un processus qui a inclus un travail de terrain effectué avec sérieux, honnêteté et professionnalisme. Concernant les rapports entre la communauté internationale et Israël, c’est l’inverse qui est de mise. On critique, on donne des leçons et on condamne, et lorsque l’on a la bonne idée de se rendre sur place on se rend compte que les choses ne sont pas celles que l’on croyait et qui nous ont été distillées par la propagande arabe [..] Après le vote infâme de l’UNESCO niant tout lien entre le peuple juif et le Mont du Temple, et accusant Israël de violer les droits des Musulmans sur ce lieu, les ambassadeurs de Croatie, de Haïti, du Ghana, du Kenya et de Tanzanie ont bien voulu se rendre sur place pour voir ce qu’il en est réellement. Ce groupe a effectué une visite de six jours en Israël, organisée et financée par l’organisation juive américaine American Jewish Committee (AJC) avec la collaboration de la représentation d’Israël à l’Unesco. Et tout comme les journalistes et les hommes politiques étrangers qui se rendent en visite en Samarie, la réaction de ces diplomates sur le Mont du Temple a été sans surprise. L’ambassadeur du Kenya à l’Unesco, Prof. George Imbanga Godia, a résumé l’impression générale ainsi: « Maintenant, je vois de manière beaucoup plus claire quels sont les défis et les complexités auxquels Israël est confronté quotidiennement, et que cet État gère de manière admirable ».

On comprend plus aisément l’opposition des Arabes palestiniens à de telles visites qui on l’espère, iront en se multipliant. (lphinpho – Shraga Blum -22/03/17)

 


 

Faith Goldy, une journaliste chrétienne de la chaîne canadienne Rebel.tv raconte dans un reportage dont l’honnêteté surprendra beaucoup, ce qu’elle a vu et compris lors de son reportage en Terre sainte. Le résultat de son enquête de terrain destiné à vérifier par elle-même les accusations dont Israël fait constamment l’objet est assez surprenant : « Ma visite en Israël a fait exploser certains mythes sur le conflit israélo-palestinien. La situation en Terre sainte est très différente de ce que les gens pensent. »

Quatre journalistes de la chaîne The Rebel, un site canadien politiquement à droite, sont arrivés en Israël pour enquêter sur ce qui se passe vraiment en Terre sainte. Ils sont partis de Jérusalem, puis se sont rendus à Sderot, une ville au sud du pays près de la frontière avec Gaza, et qui est constamment sous la menace des bombes. Ils ont filmé la Syrie depuis un point élevé du Golan où Faith Goldy décrit comment leur voyage a révélé la vérité sur le conflit entre les Juifs et les Palestiniens.

Ce reportage est un must pour tous les amoureux de la vérité, dans une région du monde où le conflit est brouillé par une propagande médiatique intense.

Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.(02/04/17- lemonde.co)

 


 

La nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-Unies.

« Les Etats-Unis ne laisseront plus faire, ils exprimeront au sein de l’ONU leur alliance d’acier avec Israël ». La nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-Unies, Nikki Haley, a dénoncé jeudi « l’obsession anti-israélienne » et a affirmé qu’elle ne laisserait pas le Conseil de sécurité cibler Israël avec des condamnations unilatérales, alors qu’elle adressait un véritable plaidoyer aux journalistes. « Je pensais que le Conseil de sécurité était censé trouver des voies vers la paix et la sécurité dans le monde, mais lors de cette séance, au lieu de parler du réarmement du Hezbollah au Liban, de l’argent iranien qui coule à flots en direction des organisations terroristes, de la manière dont on peut anéantir Daech ou comment sanctionner Bachar al-Assad pour les massacres qu’il a commis, la séance a été consacrée à…Israël, la seule démocratie de la région, avec des critiques », s’est-elle exprimée après la première séance sur le Proche-Orient à laquelle elle assistait. (21/02/17 – i24news)

 


 

La Croix Rouge dénonce les mensonges des Palestiniens. (30 avril – lemondejuif -Extrait)

Israel nous donne, contrairement aux établissements de sécurité de nombreux autres pays, y compris ceux d’Occident, un accès rapide aux hauts fonctionnaires de l’armée israélienne, des services pénitentiaires et à d’autres services de sécurité. Nous avons un dialogue utile, productif et professionnel avec eux. Nous avons clarifié avec eux la question des assaillants qui effectuent des attaques terroristes et nous sommes parvenus à une conclusion sans équivoque selon laquelle il n’y a pas d’ordre de l’armée israélienne de tirer sur des suspects à tuer.

 


 

Un réfugié Syrien témoigne !

Aboud Dandahay, réfugié syrien de trente-neuf ans, a ouvert un blog, un compte Twitter ainsi qu’une page Facebook au nom de « Thank you Am Israel ! » (Merci peuple d’Israël !) Sur cette page figurent des histoires vécues et des articles d’opinion sur l’aide humanitaire apportée par des Israéliens et des Juifs à des civils et à des réfugiés syriens lors de la guerre civile qui déchire le pays.

« Le jour où cette guerre s’achèvera, il faudra que la population syrienne mais aussi le monde, sachent combien les Israéliens nous ont manifesté de la bonne volonté » explique Aboud. Il appelle les citoyens syriens concernés à témoigner sur sa page Facebook et à dire combien Israël les a aidés. (Shraga Blum | le P’tit Hebdo – 14/01/17)


 
 
 

Israël vient de fêter les 50 ans de la libération de Jérusalem : 1967 – Mémorable Guerre des Six Jours ! Le Colonel de réserve de Tsahal, dont il a été le porte-parole crédible et respecté, Olivier Rafowicz, a rappelé qu’en 1967, Israël n’occupait aucun territoire mais était sous la menace de destruction par les pays arabes. Selon lui, la menace est toujours présente. Les guerres et les attentats n’ont pas cessé. Mais depuis 1967, l’Egypte et la Jordanie ont signé la paix avec Israël, alors que plusieurs pays arabes – la Syrie, l’Irak, la Lybie… – sont en pleine déliquescence. Olivier Rafowicz a noté la mise en place d’un nouvel axe contre le terrorisme qui passe par Jérusalem, Le Caire , Amman et Ryad. (Le Monde Juif – 09/06/17)

 
 
 

Avez-vous bien lu la Déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israël ?

Le vendredi 14 mai 1948, 5 du mois juif de Iyar, David Ben Gourion arrive au 16 du boulevard Rothschild dans la maison que Meïr Dizengoff, le premier maire de Tel-Aviv, a fait construire sur un terrain de sable acquis en 1909 lors d’un tirage au sort entre les soixante six fondateurs de la ville.

A 16 h, une heure à peine avant le début du shabbat, huit heures avant l’expiration du Mandat britannique, devant un parterre de trois cent cinquante notables et journalistes, David Ben Gourion tape trois coups de marteau, saisit quatre feuilles dactylographiées et, debout sous le portrait de Théodore Herzl, lit solennellement la déclaration d’indépendance de l’Etat d’Israël :

 

Et chaque mot, nous interpelle encore, 69 ans après :

« Nous, membres du Conseil national représentant le peuple juif du pays d’Israël […] proclamons la fondation de l’État juif dans le pays d’Israël, qui portera le nom d’État d’Israël. […]

L’État d’Israël sera ouvert à l’immigration des juifs de tous les pays où ils sont dispersés […] Il sera fondé sur les principes de liberté, de justice et de paix enseignés par les prophètes d’Israël. Il assurera une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous ses citoyens, sans distinction de croyance, de race ou de sexe. Il garantira la pleine liberté de conscience, de culte, d’éducation et de culture […] Nous tendons la main de l’amitié, de la paix et du bon voisinage à tous les États qui nous entourent et à leurs peuples […]

Nous lançons un appel au peuple juif de par le monde à se rallier à nous dans la tâche d’immigration et de mise en valeur, et à nous assister dans le grand combat que nous livrons pour réaliser le rêve poursuivi de génération en génération : la rédemption d’Israël. Confiants en l’Éternel Tout-Puissant, nous signons cette déclaration sur le sol de la patrie, dans la ville de Tel-Aviv, en cette séance de l’assemblée provisoire de l’État, tenue la veille du chabbat, 5 Iyar 5708, quatorze mai mil neuf cent quarante-huit. »


Qu'en est-il de la charte du Hamas...

« Le djihad contre Israël doit être mené jusqu’à sa destruction et jusqu’à l’expulsion ou l’assassinat de tous les juifs. »

Les politologues F. Thual et F. Encel notent que la Charte exprime un antisémitisme outrancier où l’on invoque plusieurs versets du Coran dans une interprétation assassine. Ils rapportent que l’objectif avoué du Hamas est la liquidation d’Israël, l’expulsion ou le meurtre de Juifs (« des singes ou des porcs ») et l’instauration sur toute la Palestine d’un État théocratique avec la charia pour seule loi. Des universitaires israéliens comme Meir Litvak ou Benny Morris mettent également l’accent sur le caractère ouvertement antisémite de la charte du Hamas (Wikipédia)

Officiellement : « À l’ombre de l’islam, les disciples des trois religions, islamique, chrétienne et juive, peuvent coexister dans la sécurité et la confiance » (Article 31).

On sait que la plupart des chrétiens ont fui Gaza, et la faible minorité restante y subit une forte pression, des menaces constantes, des meurtres, des destructions…  » plusieurs organisations se déclarant proches d’Al-Qaïda annoncent vouloir continuer les attaques jusqu’à ce que les 3 000 chrétiens aient quitté la bande de Gaza (Wikipédia – Bande de Gaza). Il en est de même pour la communauté Chiite. Les journalistes sont sélectionnés ou tenus à l’écart. Quand aux juifs, il n’y en a pas plus un seul.

Beaucoup d’habitants de Gaza aspirent à vivre en paix, dans une vraie démocratie. Mais il faut savoir que les Gazaouis sont les otages de dirigeants corrompus, cupides et sanguinaires, cruels envers leurs propres citoyens. Ces chefs richissimes cultivent la haine du voisin juif dans le coeur des plus jeunes dès l’école maternelle. Et leur propagande honteusement mensongère est reprise par la plupart des grands médias. Mensongère car, l’une après l’autre, toute concession de la part d’Israël pour parvenir à la paix dans la région n’a servi à rien. (Pour plus d’infos voir article « Histoire de la Judée-Samarie »)


 
 
 

Sait-on que le terme « peuple palestinien » n’existait pas avant la création de l’OLP en 1964, ni pendant la création de l’Etat d’Israël ? Jusqu’en 1964, il n’a jamais été question de peuple « palestinien uniquement arabe » car le terme « palestinien » regroupait à la fois les Juifs et les Arabes, les Chrétiens et les Musulmans, ainsi que d’autres minorités vivant en Palestine mandataire occidentale de l’Ouest, celle qui est devenue depuis l’Etat d’Israël.

Lire les propos d’un Cheikh arabe : « Allah a donné la terre d’Israël aux juifs ! »

 
 
 

Un message de Tsahal - Armée de défense d'Israël

Pourquoi le Hamas est une organisation terroriste.

C’est au début de la première Intifada en 1987 que le Hamas est créé. Depuis lors, le groupe prône l’établissement d’un état islamique palestinien à la place d’Israël et a rejeté toutes les propositions faites par l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et Israël.

La branche militaire du Hamas, les Brigades Izz al-Din al-Qassam, a mené des attaques terroristes contre les civils israéliens depuis les années 90 en perpétrant des attentats-suicides, en plaçant des bombes dans des endroits publics et en tirant des roquettes. En menant ces attaques terroristes, le Hamas espère se faire passer pour un « mouvement de résistance légitime » alors que la réalité est tout autre.

Voici la définition du terrorisme donnée par le Larousse en ligne : « Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système ».

Le Hamas ne se cache même pas et dit très ouvertement que leur but premier est l’établissement d’un État palestinien dans l’intégralité du territoire israélien. Dans sa nouvelle charte, considérée comme plus modérée, le groupe stipule que « Le Hamas rejette toute alternative à la libération totale de la Palestine, du fleuve (Jourdain) à la mer (Méditerranée) ».

Les dirigeants du Hamas ne dissimulent pas leur but. Mahmoud al-Zahar, l’un des fondateurs du Hamas a récemment dit : « Si le Hamas libère 99,9% de la Palestine, il n’abandonnera pas le reste. Nous ne pouvons pas abandonner, religieusement, moralement, ou nationalement un seul centimètre de terre de Palestine ».

Les leaders du Hamas, les imams et les citoyens gazaouis célèbrent les attaques contre Israël. Ils enseignent la violence dans les écoles. Les parents glorifient la violence dans leur maison. Et le résultat est clair : 75% des Palestiniens de Gaza soutiennent les attaques contre les Israéliens. Ça ne ressemble pas vraiment à un pays voisin aspirant à la paix et à la coexistence.

Le Hamas s’est fait connaître durant la première Intifada dans les années 90. Depuis cette période, le groupe terroriste suit le même mode opératoire et vise les civils israéliens.

Entre février 1996 et mars de la même année, le Hamas a mené plusieurs attentats-suicides dans les bus, tuant près de 60 Israéliens. De 2000 à 2004, le Hamas a tué 400 Israéliens et blessé plus de 2000 autres dans 425 attentats. Relisez bien cette phrase. 400 Israéliens tués. 2000 blessés. 425 attaques. Et cela en quatre ans seulement.

Depuis 2002, le Hamas a investi énormément de temps et d’argent dans la construction et tirs de roquettes contre Israël. En 2016, le Hamas a dépensé 120 millions d’euros dans la construction de tunnels terroristes. Au total, le Hamas a tiré plus de 11 000 roquettes sur Israël. Selon un rapport d’Amnesty International, les attaques à la roquette du Hamas démontrent un « flagrant mépris » pour les vies civiles. Pour en revenir à la définition du terrorisme, viser des civils dans un but politique fait de vous un terroriste. C’est pas plus compliqué que ça.

 

Depuis que le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza lors d’un coup d’État en 2007, le groupe dirige Gaza d’une main de fer. Il contrôle tout et ne cache pas le fait qu’il utilise la violence.

Le Hamas exécute en public quiconque allant à l’encontre de sa politique. Lors de l’Opération Bordure Protectrice en 2014, les forces du Hamas ont kidnappé, torturé et tué au moins 23 personnes accusées de « collaboration » avec Israël. Ces actions avaient comme but de répandre la peur dans la bande de Gaza.

Parlons un peu de la liberté de la presse. Enfin bon, elle n’existe pas vraiment dans la bande de Gaza. Selon le classement mondial de la liberté de la presse de 2016, la liberté de la presse à Gaza sous le contrôle du Hamas est passée de 52% en 2007 à 14% 2016. Le Hamas contrôle chaque émission et torture les journalistes qui ne seraient pas d’accord avec eux.

La branche militaire du Hamas contrôle tout ce qui rentre à Gaza. Entre 2015 et 2016, les taxes à Gaza ont augmenté de 60%. Pour de nombreux produits, les taxes sont aussi élevées que le prix du produit lui-même. Et vous qui pensiez payer beaucoup de taxes… Et le pire dans tout ça, c’est qu’au lieu d’utiliser cet argent pour développer Gaza, le Hamas utilise les ⅔ de cet argent pour sa branche militaire afin de continuer à propager la terreur. Il faut croire que le Hamas n’accorde pas beaucoup d’importance à ces citoyens […]

Le Hamas est un groupe violent. Pour lui, les attaques contre les Israéliens ne sont pas seulement une stratégie politique c’est aussi et surtout une raison pour faire la fête […] En plus de célébrer ces attaques, le Hamas incite à la violence contre les civils israéliens. C’est même ce qu’il enseigne aux enfants dans les écoles mais aussi ce qui est diffusé à la télévision. Lors de la récente vague de terreur, le Hamas a même publié des vidéos expliquant comment poignarder un israélien. Les imams incitent à la violence dans les mosquées […]

(Tsahal – Le Monde Juif – 12/06/2017)


Témoignage de B. Tawil, musulman vivant au Moyen-Orient

Qui sont et que veulent les terroristes palestiniens ? 

Au cours de ces derniers jours, j’ai eu l’occasion de visiter les maisons de certains de ces hommes et femmes palestiniens impliqués dans la vague actuelle de terrorisme contre les israéliens — violence que certains appellent « intifada », ou soulèvement. Ce que j’ai vu – ce que vous et n’importe qui pouvait voir au cours de ces visites – était qu’aucun de ces palestiniens n’endurait une vie de souffrance. Leurs conditions de vie étaient tout sauf misérables. En fait, ces assassins avaient des vies confortables avec un accès illimité à l’éducation et au travail. Quatre des terroristes venaient de Jérusalem et en tant que résidents permanents qui n’avaient pas demandé la citoyenneté, détenaient des cartes d’Identité israélienne. Ils jouissaient des mêmes droits que les citoyens israéliens sauf celui de voter pour les représentants de la Knesset (mais les arabes de Jérusalem ne tuent pas et ne meurent pas pour pouvoir voter aux élections parlementaires israéliennes). Ces jeunes gens ont profité de leur statut de résident permanent en Israël pour décider de tuer des juifs. Tous avaient des cartes d’identité israéliennes qui leur permettaient de circuler librement à l’intérieur d’Israël, et même de posséder et conduire leurs propres véhicules avec des plaques d’immatriculation israéliennes. Ils avaient aussi droit aux aides sociales et aux soins de santé gratuits comme tout citoyen israélien, indépendamment de leur foi, leur couleur de peau ou leur ethnie. Aucun de ces jeunes palestiniens impliqués dans les récentes attaques terroristes ne vivait dans une maison en torchis, sous une tente, ni même ne louait un appartement. Tous vivaient dans des maisons qui étaient la propriété de leur famille et avaient un accès illimité à internet. Ils avaient tous des smartphones qui leur permettaient de partager leurs points de vue sur Facebook et Twitter et entre autre chose, de se livrer à des incitations insidieuses contre Israël et les juifs.

– Chez Muhannad Halabi par exemple, le palestinien qui a assassiné deux juifs dans la vieille ville de Jérusalem, la semaine dernière, vous découvririez que son père est un homme d’affaires qui travaille dans le secteur des systèmes d’air conditionné et qu’il a sa propre affaire à Ramallah. La maison de la famille dans le village de Surda en périphérie de Ramallah, semble toute droit sortie d’un film tourné à San Diego. Selon les siens, Muhannad Halabi, était un garcon gâté qui avait tout ce qu’il voulait. Il avait étudié le droit à l’université Al-Quds près de Jérusalem, et pouvait aller et venir librement entre Ramallah et le campus. Mais la bonne vie que menait Muhannad ne l’a pas empêché de rejoindre le djihad islamique et d’assassiner deux juifs. Il voulait tuer des juifs parce qu’il avait subi le lavage de cerveau de nos leaders et médias et qu’il était animé par la haine — il ne vivait pas dans la misère et les privations.

– Le cas de Shuruq Dweyat, une étudiante de 18 ans du village de Tsur Baher à Jérusalem, n’est pas vraiment différent de celui de Muhannad Halabi. Elle est actuellement traitée gratuitement dans un hôpital israélien, après que le juif qu’elle essayait de tuer dans la Vieille Ville lui ait tiré dessus, la blessant gravement. Elle étudiait l’histoire et la géographie à l’université de Bethlehem, où elle se rendait quatre fois par semaine depuis chez elle, sans rencontrer le moindre obstacle ni être arrêtée par des soldats israéliens. Les photos que Shuruq a postées sur les medias sociaux montrent une jeune femme heureuse, toujours très souriante et qui posait pour des selfies. Elle avait son propre smartphone. Sa famille, comme celle des autres terroristes, est propriétaire de leur résidence et vit très confortablement. La carte d’identité que Shuruq détient lui permet de circuler où et quand elle veut en Israël. Elle a choisi de profiter de ce privilège pour tenter d’assassiner un juif au hasard dans la rue. La raison? Elle aussi était apparemment motivée par la haine, l’anti-sémitisme et le fanatisme. Elle aussi, est victime d’une énorme machine de propagande qui ne cesse de diaboliser Israël et les juifs.

– Si vous aviez rencontré Fadi Alloun, 19 ans, vous auriez sans doute vu en lui le plus bel homme de Jérusalem. Fadi, qui était originaire de Issawiyeh à Jérusalem, avait aussi une belle vie sous administration israélienne. Lui aussi avait une carte d’identité israélienne et pouvait se déplacer librement dans tout le pays. Sa famille m’a dit qu’il aimait faire les grands magasins en Israël pour s’acheter des vêtements dans des chaînes comme Zara, Renuar, Castro. Avec ses vêtements très sophistiqués et ses lunettes de soleil, il ressemblait plus à un mannequin italien qu’au terroriste moyen. Lui aussi avait un accès illimité à Internet et sa famille était propriétaire de leur maison. La belle vie de Fadi en Israël, cependant, ne l’a pas empêché de prendre la décision de poignarder le premier juif qu’il a rencontré dans la rue. C’est ce qui est arrivé la semaine dernière quand Fadi a poignardé un jeune juif de 15 ans juste à l’entrée de la Vieille Ville de Jérusalem. Fadi a été tué par le tir d’un policier israélien qui s’est précipité sur les lieux du crime. Fadi ne s’est pas mis à assassiner des juifs parce qu’il menait une vie dure. Il ne souffrait ni de misère ni de pauvreté. Il avait pratiquement tout ce qu’il souhaitait et sa famille était aisée. La vie de Fadi était en fait bien meilleure que celle de ses frères palestiniens [sous autorité palestinienne] ou dans la Bande de Gaza. En tant que résident israélien, Fadi pouvait se rendre où il voulait en Israël et avait accès libre aux restaurants, aux centres commerciaux et centres sportifs.

– Les autres jeunes gens qui ont participé à cette vague d’attaques terroristes avaient aussi des vies confortables; certains avaient de bons emplois en Israël, en partie grâce à leur carte d’identité israélienne. Ceux qui venaient des Territoires [sous contrôle de l’AP] pouvaient contourner les checkpoints et la barrière de sécurité, tout comme des milliers d’autres travailleurs palestiniens, qui viennent en Israël chaque jour en quête de travail et d’une vie meilleure. Pour être honnête, j’ai envié ces terroristes pour la vie confortable qu’ils avaient. Les meubles de leurs maisons sont de loin supérieurs à mes meubles. Pourtant, ce luxe ne les a pas empêchés de vouloir tuer des juifs. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela montre que les terroristes palestiniens ne sont pas motivés par la pauvreté et les privations, comme beaucoup ne cessent de prétendre. Les terroristes palestiniens sont motivés par la haine des juifs parce que leurs leaders, leurs médias et leurs mosquées leur disent que les juifs sont l’ennemi, qu’ils n’ont aucun droit d’être dans cette partie du monde. Cela montre aussi que l’objet du conflit n’est ni les sites religieux musulmans, ni Jérusalem, mais de tuer autant de juifs que possible. Tuer deux juifs dans la vieille ville de Jérusalem ou un couple juif en face de leurs quatre enfants n’a rien à voir avec la mosquée Aqsa ou la [prétendue] « occupation ». C’est le simple désir de tuer autant de juifs que possible. Les terroristes n’ont fait aucune distinction entre un juif vivant à Jérusalem Est, en Judée-Samarie, à Tel Aviv ou Afula [au nord d’Israël]. Pour les terroristes et leurs sponsors, tous les juifs sont des occupants et Israël est en soi une grosse colonie qui doit être éliminée.

Notre conflit avec Israël ne se pose pas en termes d’occupation ou de Jérusalem ou des sites saints ou des frontières. Il ne concerne pas non plus la pauvreté et les mauvaises conditions de vie, ni le mur, ni les barrières, ni les checkpoints. Ce conflit concerne véritablement l’’existence même d’Israël dans cette partie du monde. La vague actuelle de terrorisme est juste une nouvelle phase dans notre rêve d’effacer Israël de la surface de la terre. Ce n’est pas une intifada. C’est juste une nouvelle flambée de meurtres destinée à terroriser les juifs et à les forcer à quitter cette partie du monde. Cela a déjà marché dans le reste du Moyen-Orient, et c’est en train de se faire contre les chrétiens aussi. Les terroristes et leurs supporters ne se battent pas contre un checkpoint ou un mur. Ils veulent qu’Israël soit détruit, que les juifs soient massacrés, et que les rues d’Israël ruissellent de sang juif ».

Source : Gatestone Institute – 29/06/2017)


 
 
 

Le jour de Yom Hazikaron (Jour du souvenir – 4ème jour du mois de Iyar – soir du 30 avril 2017) tout se fige en Israël, des larmes coulent des yeux de ceux qui ont perdu un enfant, un mari ou une amie, dans un si petit pays ou tous ou presque ont été touchés. Mais Israël et le peuple Juif privilégient la vie tandis que d’autres privilégient la mort. C’est pourquoi, dès demain, les larmes auront laissé la place aux rires et à la joie pour célébrer Yom Haatsmaout, l’anniversaire de l’Etat d’Israël.
Nous pouvons être fiers, malgré les embûches et sans avoir sacrifié à notre éthique et à nos valeurs morales, d’avoir construit en 56 ans un Etat moderne et démocratique, à la pointe dans les domaines des sciences et des technologies. Nous pouvons être fiers d’avoir intégré avec succès des immigrants du monde entier, de langues et de culture différentes.
Néanmoins, nous savons bien que cette lutte n’est pas terminée, que l’essentiel n’a pas encore été atteint : la Paix. Mais nous sommes déterminés et nous savons que nous y parviendrons, car nous savons qu’il n’y a d’avenir que dans la paix. Puisse- t’elle se réaliser le plus rapidement possible
(28/04/17 – terredisrael)

 
 
 

« L’Eternel renverse les projets des peuples, Il fait échouer les desseins des nations. Mais les décrets de l’Eternel subsistent de génération en génération… » (La Bible – Psaume 33:10-11)


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