Deux personnes ont dû mourir pour moi !

Deux personnes ont dû mourir pour moi !
Témoignage surprenant d’un homme condamné à mourir mais sauvé par la mort de deux autres personnes.

 
 

Il n’y a pas de plus grand amour que de mourir pour sauver ses amis a dit Jésus-Christ, « Lui qui, par sa mort, nous a réconciliés avec Dieu, alors que nous étions ennemis ! » (Epître aux Romains 5:10)

 
 

Voici l’histoire bouleversante d’un homme qui, par sa bravoure, aurait « mérité le ciel » aux yeux de beaucoup certainement. Mais la vie éternelle est un don de Dieu, une pure grâce, donc une chose imméritée, qui ne dépend ni de nos qualités, ni de notre position sociale ou bien de nos connaissances, pas plus que de notre âge, de notre nationalité ou de la couleur de notre peau. La Bible dit : « Dieu ne fait acception de personne; Il veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la repentance, et à la connaissance de la Vérité. » (Actes 10:34 et 2 Pierre 3:9)

 
 

C’était un ancien marin, qui, une nuit de tempête, avait risqué sa vie pour porter secours aux naufragés d’un bateau échoué. Le lendemain, une dame chrétienne qui s’entretenait avec lui au sujet de cette intervention, lui demanda dans le cours de la conversation si lui-même, au moins, était sauvé : connaissait-il le Seigneur Jésus comme son Sauveur ?

L’homme lui raconta alors comment il avait trouvé le salut en Jésus : « C’était il y a presque cinq ans de cela, lorsque le Seigneur m’a arraché non seulement à la mort de la noyade, mais aussi à l’enfer. Je n’oublierai jamais le prix énorme qu’il a fallu payer pour me sauver. Deux personnes ont dû mourir pour moi. »

– « Deux ? » demanda la dame, surprise. – « Oui, deux, répondit le marin, mon sauveur est mort pour moi voici plus de mille neuf cents ans. Et mon camarade est mort pour moi il y a presque cinq ans. C’est ce qui m’a amené à Jésus-Christ. »

Il lui fit alors le récit du naufrage qu’il avait vécu cinq ans auparavant. Trois fois le canot de secours s’était aligné près du navire qui enfonçait. En premier les femmes et les enfants avaient pris place à son bord, puis les passagers hommes. La troisième fois l’équipage allait être secouru, mais il n’y avait pas assez de place pour tous. Aussi ils tirèrent au sort pour désigner ceux qui devraient rester en arrière. Il n’y avait aucun espoir pour eux : l’épave allait sombrer, et notre marin était l’un de ces malheureux tirés au sort. Mais, au dernier moment, il fut poussé en avant dans le canot de secours par un marin, qui était chrétien et qui se plaça derrière lui en lui disant : « Assures-toi que je te reverrai au ciel. Il ne faut pas que tu sois perdu pour l’éternité. Moi je suis prêt à mourir, j’ai mis ma vie en règle devant Dieu ! »

Le marin continua : « Ce fut dur quand le canot dut s’éloigner du navire en difficulté, quand il se brisa puis disparut dans les vagues. Ce marin chrétien venait de sacrifier sa vie pour moi, son camarade incroyant… » Il poursuivit à voix basse : « En voyant le bateau couler, j’ai prié intérieurement : Si j’atteins le rivage, faudrait-il alors que mon camarade soit mort pour rien ? Ô Dieu ! Permets-moi de le revoir au ciel ! »

Une fois sauvé du naufrage, il se rendit compte qu’il n’avait aucune idée de la façon dont il pourrait connaître Dieu. Mais il se souvint que son sauveteur avait l’habitude de lire sa Bible chaque jour. Aussi, il en acheta une pour lui et commença à la lire. Tout ce qu’il découvrait là semblait le condamner. Il se dit en lui-même : « Tu n’as aucune chance d’être sauvé… tu es trop mauvais ! »

Pourtant, il persévéra encore dans sa lecture et, finalement, arriva au passage des deux criminels qui furent crucifiés avec Jésus. « Je me disais que homme qui avait demandé grâce à Jésus devait être aussi mauvais que je l’étais… Alors je suis tombé à genoux et j’ai prié : « Seigneur, je suis aussi mauvais que ce brigand ! Voudrais-tu me sauver comme tu as fait pour lui ? »

Quand j’ouvris les yeux après cette simple prière, les mots suivants s’illuminèrent : « Assurément, Je te le dis, aujourd’hui tu seras avec Moi dans le paradis ! » C’était la réponse à ma prière ! Je ne connaissais pas grand-chose sur l’oeuvre de rédemption du Seigneur Jésus en ce temps-là, mais je n’ai pas douté un seul instant de mon salut. Dieu m’avait donné l’assurance que je n’étais plus perdu. »

 

(Source : The Good Seed – 2016 – July)

 
 
 

« Dieu prouve son Amour envers nous, en ce que lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous ! » (Romains 5:8)

 

« Je vis par la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé, et qui s’est livré Lui-même pour moi. » (Galates 2:20)


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