Dieu parle aux hommes

Dieu parle aux hommes
Ces deux témoignages apportent la preuve que Dieu parle à tous les hommes et se fait connaitre tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, dit la Bible.

 
 

Ce qu’Il a fait tout au long des siècles pour des multitudes d’hommes enchaînés par leurs vices, leurs angoisses ou leur méchant caractère, Il veut le faire pour tous ceux qui se tournent vers Lui aujourd’hui encore.

 
 
 

Bouba, le terrible chef africain qui devint un homme complètement nouveau...

Bouba est né dans un village africain. Après avoir reçu une éducation dans une école religieuse, il devint le chef de la tribu de son village. Partout il était connu pour son caractère violent et pour sa haine des chrétiens. Mais, comme beaucoup de ses concitoyens, il vivait dans la crainte constante des mauvais esprits, et il croyait que la cause de tout malheur était la sorcellerie. Aussi, il pensait que beaucoup d’efforts et d’argent étaient nécessaires pour satisfaire les esprits et les réduire au silence. Somme toute, il fallait s’en enquérir auprès des prêtres idolâtres et leur obéir.

Puis soudain, sa vie se brisa complètement. Pendant une nuit, tout fut véritablement plongé dans les ténèbres autour de lui : il était devenu aveugle ! Dans son désespoir il consulta tous les prêtres qu’il connaissait, mais rien dans sa tradition ni dans sa religion ne pouvait lui venir en aide. Plus il implorait et se débattait dans les ténèbres, plus son état moral se détériorait. De tous côtés, c’était la nuit !

Au bout de quelques mois il décida de mettre un terme à sa vie, avec l’intention d’aller se pendre à l’un des arbres du village. Mais sous son énorme poids, la branche céda. Etourdi et secoué, il commença alors à réfléchir sur des questions de première importance : y a t-il un Dieu ? Et qui est-Il ? Pourrait-Il me guérir … ?

Dans la Bible que des personnes lui lirent, il trouva Jésus-Christ, le Sauveur, Celui qui pouvait le libérer de sa peur du diable et de la mort, le Dieu Tout Puissant. Quel changement ce fut alors, même s’il demeurait un aveugle incurable ! Après sa tentative de suicide, Bouba, qui était maintenant devenu un chrétien, réfléchissait : « Dieu peut-Il me confier un travail, afin que je sois utile et que je puisse Le servir malgré ma cécité… ? »

Découvrons ensemble ce qui s’en suivit. Bouba savait qu’il resterait aveugle et que c’était la volonté de Dieu pour lui. Mais il était devenu quelqu’un qui rayonnait de joie et qui se dépensait pour son Maître. Non seulement quelques habitants du village étaient devenus chrétiens, mais ils avaient détruit leurs fétiches. Et maintenant leurs maisons, leurs champs, leurs routes et leurs allées, tout était propre et en ordre.

Mais un jour, des larmes amères coulèrent dans le village : une jeune femme venait de mourir pendant un accouchement. On était sur le point de l’enterrer, et selon la tradition locale, le beau petit enfant nouveau-né devait être enseveli vivant avec sa mère. Tourmenté à cette pensée, Bouba décida de prendre le bébé pour l’élever, le nourrit et en prit soin au sein de sa propre famille.

Suite à cet événement, un orphelinat vit le jour, dans lequel des enfants pauvres pouvaient vivre heureux. Ils avaient suffisamment à manger, et là ils apprirent à connaître le Seul vrai Dieu et son Fils, Jésus-Christ. Même l’atmosphère dans le village devint paisible, depuis que le chef et beaucoup d’autres avaient trouvé la paix véritable. Le souhait de Bouba était que le reste des villageois puissent être libérés de leurs craintes et que, confiants en la promesse de Jésus, ils obtiennent en Lui la sécurité pour leur avenir.

(The Good Seed – 11/2017)


 
 
 

« Quiconque pratique le péché est esclave du péché […] Si le Fils de Dieu vous rend libres, vous serez réellement libres ! » (Ev. de Jean 8:34-36)

 

« Jésus-Christ nous a délivrés de la puissance des ténèbres […] Par sa mort, Il a détruit celui qui détenait le pouvoir de la mort, c’est à dire le diable, et Il a libéré ceux qui, à cause de la crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans l’esclavage. » (Col. 1:13 et Heb. 2:14-15)

 
 
 

L'officier désespéré face à la lumière de l'Evangile vécu

L’officier britannique Ernest Gordon (1916-2002) fut prisonnier de guerre au Japon dès 1942. Avec des milliers d’autres prisonniers, il reçut l’ordre de construire en plein milieu de la jungle un pont sur la rivière Kwaï pour la ligne de chemin de fer entre la Thaïlande et la Birmanie. Les conditions de vie inhumaines et la maladie amenaient les prisonniers à la dépression et au désespoir, et les relations qu’ils avaient entre eux étaient marquées pas la méfiance et la dureté. A cela s’ajoutait la malveillance des habitants des villages qu’ils traversaient, quand ils se rendaient au travail.

Pourtant, Gordon raconte qu’un jour les prisonniers sont arrivés dans un village où, à leur grande surprise, les habitants les ont bien traités. Ils ne pouvaient pas se comprendre, mais une grande sympathie se lisait dans leurs yeux. Et tandis qu’ils avançaient, les habitants glissaient discrètement dans leurs mains des fruits, des oeufs, des médicaments et de l’argent. « Nous avons appris plus tard que tout ce village était chrétien. La lumière du christianisme avait brillé dans ce coin de la jungle malgré la guerre… Cette bienveillance nous rappelait fort heureusement, à nous prisonniers, qu’un mode de vie plus humain subsistait encore. Et sans un mot, le message du christianisme authentique avait été transmis. »

Dans sa biographie, Ernest Gordon raconte comment il est devenu chrétien, alors qu’il était prisonnier de guerre des Japonais en Thaïlande, avec d’autres compagnons d’infortune, pour construire le fameux pont sur la rivière Kwaï. C’est là, après le témoignage de villageois chrétiens, dans ces conditions très dures, qu’ils ont décidé, avec quelques prisonniers, de rechercher si le christianisme ne contenait pas une vérité qui leur aurait échappé.

« Très rapidement », écrit-il, « nous en sommes arrivés à lire la Bible, chaque soir, dans un coin du camp, à l’écart. A travers nos lectures et nos échanges, nous avons fait connaissance avec Jésus. Comme nous, Il n’avait ni logement ni amis, en tous lieux. Lui aussi avait connu la faim, la fatigue, la souffrance, le rejet… En même temps Il était un homme que nous pouvions admirer, le genre d’ami que nous aimerions avoir, un chef que nous pourrions suivre. Son humanité nous fascinait. C’était un ouvrier, et cependant Il restait parfaitemet libre : ni la société, ni la religion ne l’avaient asservi. Les forces du mal n’avaient pas pu le détruire. Il est vrai qu’Il avait été cloué sur une croix, mais sa mort même avait un sens car Il avait pris sur Lui toutes nos fautes. Maintenant Il était vivant !

L’amour que Jésus montrait à un degré aussi élevé était l’Amour de Dieu, Il était centré sur les autres, et non pas sur lui-même. Dieu se révélait à nous par l’intermédiaire de Jésus, le charpentier de Nazareth, la Parole incarnée. La Vérité que nous cherchions s’identifiait avec Jésus-Christ. »

(LBS – 04/2017)


 
 
 

« Que votre lumière brille ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux ! » (Matt. 5:16)

 

« Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui ! […] Jésus dit : Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne peut venir au Père que par moi. » (Jean 3:17 et 14:6)


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