Moyen-Orient – Islamisme, ce qui est caché.
De plus en plus de voix s’élèvent, de toutes origines ou confessions, pour dénoncer la menace que représente le djihad au niveau mondial. Celui-ci se manifeste sous la forme de plusieurs mouvements extrémistes, mais qui tous sont les branches d’un même arbre. Tous commettent les mêmes exactions envers des populations souvent pauvres et pacifiques, qui sont pillées, chassées de leurs villages, exécutées sans sommation pour ceux et celles qui tentent de résister, ou massacrées systématiquement pour raison de purification ethnique. Le « printemps arabe » a permis l’extension du terrorisme et de l’islamisation radicale, qui commence à préoccuper les esprits tout autour de la planète. Serait-ce un chaos provoqué, contrôlé, ou plutôt « jusqu’ici contrôlable », selon les termes de certains politologues…
Quoi qu’il en soit, il semble très tard pour réagir, et tenter d’éviter le pire, mais certains ont le courage de témoigner, d’avertir, d’encourager… C’est ce que nous voulons faire connaître en publiant les faits et quelques témoignages ci-dessous.
Témoignage de Walid Shoebat, ex-terroriste du Fatah.
Emprisonné en Israël, cet homme a eu le temps de réfléchir à l’endoctrinement qu’il avait subi depuis son plus jeune âge. Il est ressorti de cette expérience totalement bouleversé par les Écritures. Devenu chrétien, il s’est envolé vers les Etats-Unis où il milite très activement contre ce qu’il appelle le cancer : l’islam. Voici ce qu’il a écrit et que beaucoup de révisionnistes de l’histoire ne veulent simplement pas accréditer :
« Comment le 4 juin 1967, alors que j’étais citoyen jordanien, je suis devenu en un jour palestinien. Nous n’avons jamais été gênés par notre nationalité jordanienne alors. L’enseignement de la destruction d’Israël faisait partie de notre programme scolaire. La fixation contre les juifs est devenue grave uniquement lorsque les juifs sont arrivés à Jérusalem. D’un coup, nous étions tous palestiniens. Ils retirèrent l’étoile du drapeau jordanien, et nous avions un drapeau palestinien (chacun peut vérifier). J’ai enfin réalisé que tout ce qui m’avait été enseigné alors n’était que mythes et mensonges. Il est de mon devoir de rétablir la vérité. »
Dans cet interview en date de juillet 2014, Walid Shoebat expose ce qui lui apparaît le plus dangereux : la complaisance de l’Occident vis à vis de l’islam :
« L’islam s’est senti en confiance pour aller de plus en plus loin dans ses revendications car l’Occident, l’Europe et les Etats-Unis d’Obama, ont laissé faire. A l’ouest, nous aidons les islamistes à avoir confiance en eux puisqu’il n’y a jamais de réponse à leur folie. Nous forçons Israël à accepter un cessez-le feu avec le Hezbollah alors que celui-ci était l’agresseur. Nous forçons Israël, pire encore, à restreindre ses frappes, alors qu’il se bat contre des agresseurs islamistes à Gaza. C’est exactement ce que les islamistes veulent ! »
A une question sur les attentats suicides, W. Shoebat répond : « Seuls les musulmans sont capables de telles atrocités car ils puisent dans le Coran le matériau nécessaire à leurs exactions. »
L’interviewer lui dit qu’ils sont souvent motivés par la pauvreté. -« Oui, cela pourrait être une motivation… Mais dans ce cas, n’avons-nous pas ce type de comportement meurtrier en Inde ? Ou n’importe où dans le monde musulman ? Il y a des attentats suicides certes, ailleurs : en Afghanistan, au Pakistan, en Tchétchénie… là où sont les musulmans. L’islam est une bête blessée qui veut son Grand Final, son Califat, et se soigner avec le sang des démocraties ».
Cet homme est passé par l’islamisme, par des activités terroristes; il sait de quoi il parle… (témoignage recueilli sur Jérusalem plus)
Un prêtre orthodoxe d’Israël a défendu l’Etat Juif devant le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies (23/09/2014).
Il a expliqué qu’Israël est le seul pays du Moyen-Orient où les chrétiens ne sont pas persécutés, en implorant les 47 nations « d’arrêter la chasse aux sorcières du seul pays libre de la région ».
« Aujourd’hui, au Moyen-Orient, il y a un pays où le christianisme n’est pas seulement protégé, mais dispose également d’une liberté d’expression et de culte » a déclaré le prêtre Gabriel Naddaf. « C’est Israël, l’Etat Juif. Israël est le seul endroit où les chrétiens au Moyen-Orient sont en sécurité. »
Selon Naddaf, environ 120 000 chrétiens ont été tués chaque année au Moyen-Orient dans la dernière décennie. « Cela signifie que toutes les cinq minutes un chrétien est tué à cause de sa foi » a t-il déclaré. « Ceux qui peuvent échapper à la persécution des extrémistes ont fui. Ceux qui restent existent comme des citoyens de seconde, voire de troisième zone, pour les dirigeants musulmans ».
Naddaf, qui dirige l’église grecque orthodoxe de Yafia près de Nazareth, a soutenu « qu’il est temps que le monde accepte le fait que ceux qui veulent détruire l’Etat Juif signent l’arrêt de mort des derniers chrétiens libres en Terre Sainte. »
Naddaf a été envoyé à Genève pour témoigner de la difficile situation des minorités chrétiennes par « Le Visage d’Israël », une organisation de diplomatie publique qui est affiliée au Ministère des Affaires Etrangères…
En décembre 2013, son fils a été attaqué et hospitalisé à cause des prises de position de son père.
Source : Times of Israël (Marissa Newman, avec la contribution de Stuart Winer, paru le 24/09/2014 dans Désinfos.com)
Un nouveau parti politique arabe chrétien s’est créé en Israël : « Bné Brit Hadasha », en référence au Nouveau Testament.
A l’inverse des autres formations arabes, ce nouveau parti souligne sa fidélité à l’Etat hébreu en tant que foyer du peuple juif. Bashara Shlayan, arabe chrétien, capitaine de vaisseau dans Tsahal, s’adresse aux arabes israéliens : « Nous sommes d’abord israéliens, la religion vient ensuite. Unissons-nous… Nous ne vivons pas en Irak où les églises sont bombardées, ni en Syrie où les chrétiens n’ont pas le droit de parler. Nous vivons dans un Etat juif, démocratique et libre. Partout au Moyen-Orient, les chrétiens sont poursuivis, tués, sauf en Israël. Ici, tous ceux qui sont restés ont eu le droit de devenir des citoyens et de s’intégrer dans la société. L’Etat fait beaucoup de choses, c’est un partenaire. Voyez ce qui se fait au Liban, en Egypte, en Syrie… »
B. Shlayan (Israël Magazine 152)
Jusqu’à la mort… Etrange silence des médias sur les crucifixions en Irak et en Syrie.
L’ISIS (L’Etat islamique en Irak et en Syrie) utilise les crucifixions comme punition quand quelqu’un quitte l’islam pour devenir chrétien. La crucifixion n’est utilisée que pour les chrétiens, non pour les musulmans. Huit hommes ont été exposés sous la chaleur et le soleil sur la grand place de la ville de Deir Hafer, près d’Alep en Syrie. On ne sait pas s’ils ont été tués avant d’être crucifiés. Ce que l’on sait c’est que ces hommes se sont convertis au christianisme. Même sur la potence, ils ont refusé de revenir à l’islam.
(Par N. Amzar – Paru sur Jérusalemplus.com le 28/08/2014)
Un peu d’histoire sur les crimes et les massacres au nom d’Allah (depuis le XIXe siècle seulement!). Ce qui est dit ci-dessous, quand en parle t-on dans les médias occidentaux, français en particulier ? Les chiffres vont peut-être vous sembler exagérés, il suffit de vérifier par vous-mêmes, cela est une dure réalité.
Crimes et massacres au nom d'Allah : les chiffres...
– 1894-1917 : génocide arménien : 2 millions massacrés en Turquie par les musulmans (Le Vicomte Bryce estimait devant la Chambre des Lords à environ 800 000 les victimes arméniennes dans la ville de Trebizond, c’est à dire toute la population chrétienne éliminée, dont 10 000 noyés à la fois)
– 1914-1918 : génocide assyrien de Turquie : 250 000 personnes tuées au nom d’Allah.
– 1919-1923 : génocide des grecs pontiques : 250 000 massacrées en Turquie et expulsion de 250 000 en Grèce (Allah est miséricordieux)
– 1930 : 40 000 décapitations publiques, 350 000 amputations dans une campagne de purification spirituelle en Arabie.
– 1933 : génocide contre les assyriens chrétiens en Irak. Plusieurs milliers de victimes. La communauté internationale, indifférente au début, réussit à stopper le massacre commis au nom d’Allah.
– 1942-1943 : génocide contre « les mécréants » en Bosnie. 200 000 civils serbes chrétiens orthodoxes, 40 000 gitans et 22 000 juifs, massacrés au nom d’Allah dans des conditions tellement atroces que même les nazis s’en émeuvent et interrompent la boucherie initialement projetée par le muphti de Jérusalem qui décide d’une Bosnie islamiquement pure, et couvre les crimes des divisions SS musulmans (plusieurs milliers de djihadistes nazis). Leur spécialité consistait à couper les membres des victimes avant de les ensevelir encore vivantes sous de la chaux vive.
– 1964-1965 : génocide contre les chinois communistes en Indonésie : 1 million de partisans massacrés au nom d’Allah. « Ils jetèrent tellement de corps à la mer que les gens avaient peur de manger du poisson ».
– 1965 à aujourd’hui : génocide cotre les papous. « Indonésislamisation » de la partie ouest de l’île de Papouasie. Les réfractaires à « l’intégration » sont massacrés : entre 100 000 et un million de tués dans la plus parfaite indifférence générale (Tout le monde n’a pas la chance de naître palestinien)
– 1971 : génocide contre les bengalis : entre 1,5 et 3 millions de tués au nom d’Allah, 200 000 viols selon estimation nationale. L’armée indienne met fin à ce génocide. Aucun pays musulman n’a tenté de l’arrêter. 10 millions de réfugiés !
– 1975 : génocide contre les timorais. Invasion du Timor Oriental, présenté aux militaires indonésiens comme un djihad anti-communiste : massacre de milliers de chinois et de catholiques, destruction des églises. Bilan établi par les australiens en 1984 : au moins 20% de la population anéantie, soit 200 000 morts, dont 10 000 la première année. On peut penser raisonnablement à un bilan total de 250 000 à 300 000 morts une décennie après.
– 1983 à aujourd’hui : génocide des peuples noirs et non musulmans au Soudan. Estimation à ce jour : 2 à 3 millions de morts pour la gloire d’Allah dans une relative indifférence. En 1986 15 000 chrétiens refusant de se convertir à l’islam sont exécutés dans leur capitale Chali. En 1992 le Vatican proteste contre les persécutions des chrétiens soudanais. Le régime de Khartoum déclare : « l’Eglise catholique est devenue l’ennemi du gouvernement soudanais; nous savons comment nous en occuper ». 1993 : publication du rapport Barbier à la Commission de Droits de l’Homme de l’ONU, sur les massacres des tribus nouba au Soudan : déportation, islamisation forcée, esclavage pour plus de 20 000 enfants. 1994 : rapport de l’ONU qui conclut que ce pays viole tous les droits de l’homme. Le président soudanais juge ce rapport « blasphématoire ». 1994 : financement de trois camps terroristes dans le nord du pays par Ben Laden. Octobre 1994 : colloque à Khartoum sur le dialogue inter-religieux au Soudan où sont invités(!) musulmans et chrétiens. A l’issue de celui-ci, le président Omar El Béchir déclare ouvertement à des partisans musulmans que son gouvernement suit un plan à long terme pour convertir le Soudan en un Etat Islamique par tous les moyens. Mars 2002 : témoignages d’humanitaires au Soudan sur le djihad perpétré contre les populations du sud : « les prisonniers sont interrogés sur leur religion; les musulmans sont libérés, les autres sont soit égorgés, soit asservis ».
Total des génocides islamiques établis :
– Estimation basse (peu probable) : 7 622 000 morts.
– Estimation haute (probable) : 11 022 000 morts
« Je voudrais m’excuser, je n’ai pas mentionné les massacres de chrétiens en Syrie, en Irak, Liban, l’aide apportée par les musulmans aux nazis, les massacres en Ouganda, en Inde et au Pakistan… »
Sacha Dratwa (Lieutenant, chef du Département Nouveaux Médias de Porte-parole de Tsahal)
« Le monde musulman accuse Israël de massacrer les palestiniens, je vous laisse comprendre vous-mêmes pourquoi accuser Israël de faire un génocide à Gaza est une honte… (D’autant plus que les palestiniens n’étaient que 600 000 en 1948 et qu’ils sont aujourd’hui plus de 6 millions, soit dix fois plus. Comment peut-on parler de génocide dans ces conditions ? » (Note de Puteaux-libre)
Le vent violent de l’antisémitisme souffle à nouveau sur l’Occident, rappelant les années qui précédèrent la dernière Guerre Mondiale, et l’humanité ferme les yeux. La haine contre l’Etat d’Israël a pris de telles proportions que dans leur folie les gouvernements préfèrent ignorer la terrible menace du djihad. Sur tous les fronts, la propagande s’étend.
– Le 31 octobre 2014 le jforum.fr révélait la nouvelle accusation twittée par une candidate du Parti Travailliste aux élections parlementaires aux Pays-Bas : « L’Etat Islamique n’a rien à voir avec l’Islam. C’est un complot des sionistes qui veulent noircir l’Islam » !!! Dans ce pays, parmi d’autres en Europe, certains musulmans « faux modérés » ne cachent plus leur soutien au Hamas et à l’E.I., et plus inquiétant encore, nombre de personnalités et plusieurs partis politiques participent à ces défilés de la haine.
– Difficile à croire : Lorsque la nouvelle d’un attentat terroriste, avec mort d’hommes et d’enfants, nous parvient de Jérusalem fin octobre, elle est récemment camouflée derrière un accident de la route ! Et voilà le chauffeur palestinien injustement soupçonné, dont les obsèques pourront faire l’objet d’un soulèvement anti-israélien, voire élever le terroriste au rang de martyr pour la libération de la Palestine… (Vu sur Désinfos.com du 29/10/2014)
Hypocrisie révoltante, fourberie, ignominie, les mots sont faibles. Car personne n’ignore, en revanche, y compris bien-sûr parmi les membres des gouvernements qui siègent à l’ONU, les intentions génocidaires des adversaires d’Israël…
Einstein a dit : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »
