Le mystère de l’Amour de Dieu

Le mystère de l’Amour de Dieu
Des récits qui témoignent de l’Amour insondable de Dieu, dont l’appel a retenti parmi les hommes dans toutes les générations…

 
 
 

Peu de temps après la seconde guerre mondiale, un père se promenait dans les rues d’une grande ville américaine avec son petit garçon. Ici et là ils remarquèrent qu’une étoile argentée avait été collée sur la fenêtre de certaines maisons. Cela signifiait qu’un fils de ces familles avait péri pendant la guerre. Sur certaines fenêtres, il y avait même deux étoiles. Dans ce cas, les familles avaient perdu deux fils ! Le jeune garçon se mit à compter les étoiles d’argent…

Alors qu’ils marchaient, le soir tombant, la première étoile apparut soudain entre deux hauts immeubles, brillant dans le ciel. L’enfant s’exclama : « Papa, Dieu a t-Il donné un Fils, Lui aussi ? Le père prit la main de son enfant et, tout ému, répondit : « Oui, Dieu a donné son Fils Unique pour notre salut… »

Dieu savait comment son Fils serait accueilli sur la terre : une étable pour sa naissance, et une croix pour mourir. Il connaissait à l’avance l’antipathie et la haine que Lui voueraient les chefs religieux, les insultes, les blasphèmes, les coups de fouet et les clous. Dieu savait tout cela. Il envoya pourtant son Fils pour l’humanité. Nous en étions totalement indignes, étant Ses ennemis. Mais « Dieu a prouvé son Amour envers nous : alors que nous étions pécheurs, Christ est mort pour nous ! » dit l’épitre de Paul aux Romains. (The Good Seed -07/11/16)

 
 
 

Autrefois Dieu a parlé par des prophètes. Puis Il a parlé par le Fils, venu dans le monde voici deux mille ans. Dieu s’est manifesté en Jésus-Christ, qui est l’image du Dieu invisible » dit la Bible, « Ce Dieu qui a tant aimé le monde a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle ! » (Jean 3:16). Jésus est venu pour révéler le Père dans son Amour, sa Sainteté et sa Justice parfaite. « Lui, existant en forme de Dieu, Il s’est dépouillé, devenant semblable aux hommes, en prenant la condition d’un esclave, et Il s’est humilié Lui-même en se rendant obéissant jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi Dieu L’a souverainement élevé… » (Epitre aux Philippiens 2:6-7)

« Le salaire du péché c’est la mort » dit la Bible. « Rien de souillé ni d’impur ne peut entrer dans le royaume des cieux » (Epître aux Romains 6:23 et Apoc. 21:27). Dans son Amour, et pour sa propre joie, Dieu ne pouvait se résoudre à voir sa créature vaincue par le péché, et à jamais condamnée. C’est pourquoi tel fut le dessein du Créateur envers l’humanité : le sacrifice de son Fils bien-aimé, pour que le châtiment que nous méritions tombe sur Lui.

Cher lecteur, il n’y a pas de pécheur trop coupable pour pouvoir être sauvé : « Le Fils de Dieu m’a aimé et s’est livré Lui-même pour moi » écrit l’apôtre Paul aux Galates (2:20). Si tu avais été le seul à être sauvé, Jésus-Christ aurait accompli la même oeuvre de salut ! Chacun peut dire : « Pour moi Jésus a souffert, pour moi Il est mort et pour moi Il est ressuscité ! »

Le message qui émane du Don merveilleux a le pouvoir de vaincre l’homme le plus endurci, le plus indigne, le plus déchu…

 
 
 

Témoignage : L'enfant de paix

Il y a très longtemps, les ancêtres des Sawis, peuple peu connu d’Indonésie, avaient enfermé toute leur culture dans un cycle incessant de guerres. Le moindre faux pas d’un membre d’une tribu voisine pouvait plonger la population d’une région entière dans une guerre violente et meurtrière. Les Sawis avaient cependant une étrange coutume pour rétablir la paix entre eux. Voici comment cela se passait.

Les tribus concernées se rassemblent et se tiennent en face l’une de l’autre. Une appréhension et une tension se manifestent de part et d’autre. Des mères anxieuses serrent leur bébé contre elles. Tout à coup, un père, au visage déformé par l’émotion, et pourtant résolu à exécuter son plan, court en direction de la tribu opposée, son petit enfant dans les bras. Sa femme, hurlant de douleur, le suit. Des centaines d’yeux inquiets suivent le trio: cet homme tiendra t-il bon dans sa décision ? Ou bien changera t-il d’avis au dernier moment, comme tant d’autres ?

Son enfant dans les bras, le père atteint la foule de la tribu ennemie qui l’attend. Pendant un court instant, il scrute le visage des chefs de cette tribu. Il choisit un homme qu’il juge digne de confiance et lui tend son enfant. Ému, celui-ci le prend doucement des bras du père, conscient de la lourde responsabilité qu’il endosse.

Le même scénario se produit ensuite dans la tribu qui vient de recevoir l’enfant. Un des siens offre son enfant à l’autre tribu.

L’unique moyen de rétablir la paix entre tribus ennemies est d’échanger un nourrisson. L’enfant offert à la tribu opposée représente la garantie de la paix, et l’homme qui a reçu l’enfant doit faire respecter ce contrat. Tous ceux qui acceptent l’enfant comme gage de paix viendront alors poser les mains sur lui, scellant ainsi leur pacte de paix avec l’autre tribu. Par ce rite public, les griefs du passé sont réglés, et tant que l’enfant est en vie, la trahison, l’agression et la guerre sont impossibles.

Chez les Sawis, il était nécessaire d’échanger un enfant de paix pour que le cycle sans fin de guerres soit rompu. Cet enfant était le seul moyen de faire cesser les batailles interminables et de faire régner la paix. Cependant, cette paix dépendait de la vie fragile de l’enfant.

Afin d’offrir sa Paix à l’humanité en révolte contre Lui, Dieu a fait une chose semblable à la coutume des Sawis : dans son grand Amour pour nous, Il nous a donné un « Enfant de Paix » qui garantit parfaitement la paix pour toujours. Dieu a offert cet enfant une fois pour toutes aux hommes du monde entier et pour tous les temps.

Des centaines d’années à l’avance, le prophète Esaïe avait parlé de cet enfant comme s’il était là : « Un enfant nous est né, un Fils nous est donné… On l’appellera… Prince de la Paix » (Es. 9:5). Cet enfant de paix, c’est Jésus, l’Envoyé de Dieu ! Voici ce que nous lisons dans l’Évangile : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16)

Pour rétablir la paix entre Lui et les hommes, Dieu a donné son bien-aimé. Cependant, personne n’était digne de le recevoir. Les hommes l’ont rejeté, trahi, haï, maltraité… Ils l’ont cloué au bois d’une croix. Dieu savait que tout cela arriverait. Mais Il savait également que c’était le seul et unique moyen d’offrir la paix aux hommes. Le sang de Jésus apportait la rançon pour apaiser la colère de Dieu contre les hommes pécheurs. Sans cet Enfant de Paix, la réconciliation avec Dieu est impossible !

Jésus n’est pas resté sur la croix ni dans le tombeau. Il est ressuscité d’entre les morts. Il est vivant pour toujours et, de ce fait, Il est la garantie de la Paix éternelle pour tous ceux qui croient en Lui et l’acceptent comme leur Sauveur.

Vous qui lisez ces lignes, recevez Jésus dans votre vie. Croyez qu’Il a sacrifié sa vie pour vous sauver. Confessez vos péchés et abandonnez-les, et la paix avec Dieu sera rétablie. Le Seigneur vous aidera à devenir à votre tour un agent de paix dans votre entourage et peut-être bien au-delà. Ce sera à vous de tendre la main le premier afin de faire la paix avec vos proches. Cette paix de Dieu dure toujours. Elle est offerte à tous.

(Source : d’après le récit du missionnaire Richardson)


 
 
 

« Pour nous, nous aimons Dieu, parce que Lui nous a aimés le premier » (1 Jean 4:19)

 
 
 

Témoignage : Un Héritage inouï !

Le richissime anglais, le Baron Fitzgerald, n’avait qu’un fils, qui fut tué dans la guerre du Vietnam. Le père du jeune-homme ne put jamais se consoler de la perte de son fils et unique héritier. Malgré tout il demeura un homme d’affaires couronné de succès. Il investit sa fortune dans des tableaux de grande valeur. Il exprima ses dernières volontés dans son testament, ordonnant que toute sa collection d’art soit vendue aux enchères après sa mort.

Quand Fitzgerald mourut, de nombreux musées et collectionneurs se montrèrent intéressés par ses peintures. Aussi une grande foule s’assembla le jour de la vente. Le premier tableau à être proposé aux enchères était un portrait de son fils. Comme il ne possédait pas de qualité artistique particulière, personne ne fit une offre, tout d’abord. Le commissaire demanda alors : « Qui voudrait proposer un prix ? Souvenez-vous, c’est un portrait de son fils ». L’un des serviteurs de Fitzgerald, qui avait connu et qui avait aimé le fils, leva la main et offrit cent dollars. Personne n’ayant suscité plus d’intérêt, il obtint le tableau pour cette modique somme.

Le commissaire se redressa et annonça à toute la foule assemblée là : « La vente aux enchères est terminée. Le testament du Baron Fitzgerald contient la clause suivante : Celui qui acquerra le tableau de mon fils héritera de mon domaine tout entier, y compris de toutes les peintures ».

La Bible déclare : « Dieu qui n’a pas épargné son Fils, mais qui l’a livré pour nous, ne nous donnera t-Il pas aussi toutes choses avec Lui ? » (Épître aux Romains 8:32) « Vous avez tout pleinement en Lui ! » (Col. 2:10)

(The Good Seed -27/09/16)


 
 
 

« Celui qui a le Fils a la Vie (éternellement). Celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la Vie ! » (1 Jean 5:12)

 
 
 

Témoignage : Qui est comme Jésus-Christ ?

Diogène de Sinope, philosophe grec (413-327 av. J-C.) se promenait sur la place publique d’Athènes, avec une lampe allumée en plein jour. Il disait : « Je cherche un homme ». C’est à dire un homme digne de ce nom, ou encore : « Je cherche l’Homme, et je ne vois que des hommes ».

Environ deux siècles avant lui, le prophète hébreu Jérémie avait prononcé des paroles semblables. Cette fois, ce n’était pas un philosophe qui cherchait un sage. C’était Dieu Lui-même qui cherchait un homme intègre : « S’il se trouve un juste, un seul, dans Jérusalem, et je pardonne à toute la ville… » Jérémie cherche d’abord parmi les gens simples, et il doit constater qu’ils ne savent pas ce qui est juste pour Dieu. Puis il va vers les grands du peuple, mais ils ne veulent pas obéir à Dieu. Ainsi tous pèchent pareillement. Tel est le constat : « Il n’y a pas un juste, qui ne pèche jamais…Tous sont égarés » (Ecrits de l’apôtre Paul aux Romains 3:10-12).

Dans toute l’humanité, Dieu a t-Il trouvé cet homme juste ?

Il l’a trouvé en Jésus Christ qui est venu sur la terre des hommes. Ceux qui l’ont connu en ont témoigné, ceux qui l’aimaient comme ceux qui le rejetaient. Même Pilate, qui l’a livré à ses bourreaux, a dû reconnaître : « Moi, je ne trouve pas de crime en lui ». En le présentant à la foule, il a même déclaré : « Voici l’Homme ! »

Jésus était l’Homme par excellence, le Seul Juste, le Fils de Dieu devenu homme, la Parole de Dieu faite chair parmi les hommes.

Pourquoi Dieu avait-Il besoin d’un homme juste pour pardonner aux autres ? Parce que, à cause de Sa parfaite justice, seul un homme sans péché, n’ayant aucun jugement à subir pour lui-même, pouvait supporter le châtiment de tous les hommes pécheurs. Voilà le cœur de l’Évangile. « Christ a porté nos péchés en son corps… Lui qui n’a pas connu le péché, a été fait péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu » (2 Cor. 5:21 et 1 Pierre 2:24). C’est ici le mystère de l’amour de Dieu.

 

Le salut n’est pas une récompense pour le juste, mais une grâce pour le coupable !


 
 
 

Nous lisons dans la Bible qu’autrefois, l’Éternel avait fait alliance avec le peuple d’Israël. Il avait donné à Moïse des ordonnances particulières concernant le service dans le Tabernacle, puis plus tard dans le Temple de Jérusalem. Des sacrificateurs pénétraient en tout temps dans la première partie du sanctuaire, où des animaux choisis étaient offerts en sacrifice pour le pardon des péchés. Mais dans la seconde partie, le Lieu Très Saint, là où résidait la présence de Dieu, seul le souverain sacrificateur entrait, une fois par an, pour y présenter le sang d’un bouc, pour faire l’expiation de ses propres péchés et de ceux du peuple.

Cependant, les sacrifices ne libéraient pas les hommes de la puissance du mal, et l’accès du Lieu Très Saint n’était pas encore ouvert.

 
 

« Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur… Il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang. C’est ainsi qu’Il nous a obtenu une rédemption éternelle… Il s’est offert Lui-même sans tache à Dieu. Voilà pourquoi Il est le médiateur d’une nouvelle alliance… Christ n’est pas entré dans un sanctuaire fait par la main de l’homme, imitation du véritable, mais dans le ciel même, afin de se présenter maintenant pour nous devant la face de Dieu. Il n’y est pas entré afin de s’offrir plusieurs fois, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire avec du sang étranger, mais maintenant, à la fin des siècles, Il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois – après quoi vient le jugement – de même aussi le Christ s’est offert une seule fois pour porter les péchés d’un grand nombre ». (Epître aux Hébreux 9)

 

« Nous vous en supplions ! Soyez réconciliés avec Dieu ! » (2 Cor. 5:20)


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