
Qui ne connaît pas l’histoire du roi fou à qui le serviteur et ami demande la permission de parcourir la terre, afin d’y découvrir un homme qui serait plus fou que le roi. Celui-ci accepte et, à son retour, le serviteur trouve son Maître aux portes de la mort.
-Mon ami, dit le roi, je suis heureux que tu sois arrivé à temps… je vais mourir… Mais, as-tu trouvé quelqu’un plus fou que moi ? demande le roi. -Sire, vous allez partir pour toujours… Vous êtes-vous préparé pour ce grand voyage ? -Non, répond le roi, je ne sais pas où je vais… -Sire, j’ai fait le tour de la terre… En vérité, je n’ai trouvé personne qui soit aussi fou que vous !
Lorsqu’un homme se trouve face à la mort, le bilan de sa vie s’affiche devant ses yeux. Le plus souvent il voit s’écrouler le fondement sur lequel il avait tout construit, et devant lui, c’est l’effroyable saut dans l’incertitude, les ténèbres. Il pressent la sentence d’un Dieu tout puissant, la perdition éternelle… Il prend conscience qu’il y a deux existences, et la mort est là, sans qu’il se soit préparé…
La Bible dit : « L’insensé dit en son coeur : il n’y a pas de Dieu » ! Insensé, car le Créateur a mis dans le coeur de tout homme l’éternité (Livre de l’Ecclésiaste 3:11). Les pyramides de l’Egypte, les tombes chez les peuples les plus primitifs, les rites et le culte des morts dans les religions tribales tout autour de la terre (en dehors de la révélation biblique !) etc… nous apportent la preuve évidente que de tout temps les hommes ont essayé d’apaiser la colère du Dieu inconnu ou bien ont cru pouvoir rendre heureuse la vie future du défunt par leurs offrandes et leurs sacrifices.
Mais pour ceux qui ont fait la paix avec le Dieu de la Bible, ceux qui sont pardonnés et sauvés par la foi dans le sacrifice du Fils Unique, Jésus-Christ, « le Seul médiateur qui ait été donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvés » (1 Tim. 2:5), pour eux la mort n’est pas « la reine des épouvantes ». Écoutons-les :
Témoignage en relation : « les prières d’une mère » dans « Dieu écoute la prière du malheureux »