La Bible est-elle vraiment à prendre au sérieux ?

La Bible est-elle vraiment à prendre au sérieux ?

« L’herbe sèche et la fleur tombe, mais la Parole de notre Dieu demeure éternellement » (Esaïe 40:8 et 1 Pierre 1:25).

 
 

Tous les efforts acharnés des ennemis de Dieu pour détruire et faire disparaître la Bible tout au long des siècles ont échoué : la Bible est aujourd’hui le Livre le plus imprimé au monde, le plus traduit et le plus vendu. Dieu a veillé sur Sa parole ainsi qu’il est écrit depuis des millénaires ! (Jérémie 1:12).

Dieu déclare que la Parole sortie de sa bouche ne retournera pas à Lui sans avoir exécuté sa volonté, ce pour quoi elle a été envoyée (Esaïe 55:11). Il est écrit que la Parole de Dieu a été faite chair pour nous en Jésus-Christ : Il l’a accomplie parfaitement quant aux prophéties qui le concernaient, ainsi que par l’exemple de sa vie. Jésus a déclaré : « En vérité je vous le dis, jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, pas un seul trait de lettre de la Loi ne passera, jusqu’à ce que tout soit arrivé ! » (Matthieu 5:17-18)

La Bible est la Parole inspirée et éternelle du Dieu Tout Puissant, Créateur de l’univers, par qui tout existe et tout subsiste, à commencer par nous, au cente de toute la création. « Le monde a été formé par la Parole de Dieu » (Hébreux 11:3). Qui sommes-nous pour la mépriser ou pour la discuter ?

 
 
 
 

Voici deux exemples bibliques qui nous montrent que ni le temps qui passe, ni la sagesse, ni les efforts des hommes, ne peuvent annuler ce que Dieu a dit :

-1/ Lorsque le peuple d’Israël conquit miraculeusement la ville de Jéricho, Josué fit faire le serment : « Maudit soit devant l’Éternel, l’homme qui se lèvera pour rebâtir cette ville. Il en assurera les fondations au prix de son fils aîné; au prix de son fils cadet il en posera les portes (Livre de Josué 6:26). Dans le premier livre des Rois au chapitre 16, nous lisons : « De son temps, Hiel de Béthel bâtit Jéricho; il en jeta les fondations au prix d’Abiram, son fils aîné, et il en posa les portes au prix de Ségoub, son cadet, selon la parole que l’Éternel avait dite par l’intermédiaire de Josué, fils de Noun. »

Environ 450 ans séparent ces deux événements.

 

-2/ Le roi David eut le bon désir de ramener l’arche de l’Éternel dans la ville sainte. Elle fut placée sur un char neuf et accompagnée par toute une foule en liesse : « David et tout Israël jouaient devant Dieu sur des harpes, des luths, etc… de toute leur force et avec des chants ». Soudain, Uzza, l’un des hommes qui conduisaient le char, étendit la main sur l’arche car elle menaçait de glisser. Il mourut sur place, « car la colère de l’Éternel s’était enflammée ». Le roi en éprouva de la colère, mais plus tard il dit : « L’arche de Dieu ne doit être portée que par les Lévites, car l’Éternel les a choisis pour en faire le service pour toujours […] L’Éternel notre Dieu nous a frappés, car nous ne l’avons pas recherché selon les règles », c’est à dire d’après la Parole qui avait été donnée à Moïse. (1 Chr. 15:2, 12, 13). Ils firent ainsi et ce fut alors une grande célébration et une bénédiction pour tout le peuple. Cette fois Dieu était avec eux (15:26).

Cela arriva plus de 500 ans après le commandement donné à Moïse.
Nous devons prendre au sérieux les récits bibliques; dans ces deux cas il y eut mort d’homme…

 
 
 

« Ces choses sont arrivées pour nous servir d’exemple… Toute Ecriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, convaincre, redresser, éduquer dans la justice » (1 Cor. 10:6 et 2 Tim. 3:16)

 
 
 

La Bible nous met en garde : les pensées de Dieu ne sont pas les nôtres, et nous ne devons pas nous tromper par de faux raisonnements. David était roi, il possédait pour lui un rouleau de la Torah dans lequel il devait lire chaque jour afin d’agir en tout comme le Seigneur le voulait. Nous avons la Parole de l’Éternel pour nous guider, suffisante et immuable, et Jésus a dit que c’est cette Parole qui nous jugera au dernier Jour (Jean 12:48). Jésus-Christ est la Parole faite chair, « son Nom est la Parole de Dieu » (Apoc. 19:13). Le vrai disciple du Seigneur honore Dieu en Lui obéissant. « Celui qui m’aime, a dit Jésus, c’est celui qui garde ma Parole; il sera aimé de mon Père, nous viendrons vers lui et nous ferons notre demeure chez lui » (Jean 14:21-23).

C’est la sainte crainte de déplaire à l’Éternel qui nous gardera de tout faux pas.

 
 
 

« Oh ! Si tu étais attentif à mes commandements ! Ton bien-être serait comme un fleuve, et ton bonheur comme les flots de la mer. » (Esaïe 48:18)>

 
 
 
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